Et je devins adulte (2)
Datte: 22/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: papamambo, Source: Xstory
Depuis nos ébats amoureux, ma relation avec ma mère était devenue plus claire, et en fait, je pense que sans le savoir, chacun de nous avait envie de ce qui venait de se passer. J’avais, dans mes souvenirs d’adolescent, des séances de masturbation intenses en pensant à elle, mais je croyais ces souvenirs enfouis définitivement ; je tenais un journal, et dans ce journal, j’y avais noté les cinq expériences sexuelles que j’avais eues avant ce jour où je le fis avec ma mère...C’était peu à mon âge, mais enfin, pas si courant à cette époque, car peu de filles "couchaient". De plus, entré à la fac à 17 ans, je ne pensais qu’à mes études, je dois bien le reconnaître.
Bien évidemment, ma position "d’immobilisé provisoire" interdisait toute autre variante sexuelle du fait des risques que je ne pouvais prendre en bougeant les jambes...Ma mère y veillait, me disant que d’ici dix jours, je pourrais sans doute me lever quelques minutes puis quelques heures – le kiné d’ailleurs, devait passer demain pour évaluer mon état et me faire quelques manipulations passives.
En guise de kiné, ce fut une kiné qui vint me voir !
Suzie : une femme d’une trentaine d’années, blonde, dans les 1.70m, cheveux très courts "à la garçonne", plutôt fine, de type androgyne. Son visage assez pâle et romantique tranchait avec son allure volontaire, le style, un peu Amazone dans la démarche, laissait deviner une femme de conviction. Son pantalon et sa veste blanche ne pouvaient cacher un corps gracile et ...
... sportif façonné par des séances de fitness.
Souriante et très à l’aise, elle me dit qu’elle allait pratiquer sur moi de la kiné passive, à savoir que je ne devais pas du tout bouger par moi-même, mais bien "me laisser faire" qu’elle serait le moteur de mes jambes à ma place...
Ma mère, Julie, bien évidemment assistait à ce premier entretien d’un regard un peu inquiet d’une femme dont on va toucher le bébé... bébé de 18 ans passé néanmoins !
J’étais donc sur le dos, jambes immobilisées dans des gouttières sanglées, nu avec pour seule protection visuelle un drap de coton...
Elle tira un peu le drap sur mon ventre pour dégager mes jambes et les dessangler afin de les relever et les abaisser dans un mouvement lent et précautionneux ; ses doigts fins et frais recouverts d’une peau douce et glissante me faisaient du bien ; le but étant de faire travailler les muscles afin qu’ils ne s’engourdissent pas bien sûr...
Cette manipulation dura environ dix minutes seulement :
— Pour une première fois, cela suffit, me dit-elle, je repasserai ce soir; et à raison de deux fois par jour, cela devrait être efficace d’ici moins que dix jours tu pourras te redresser sur tes jambes.
Le tutoiement de rigueur créa un lien, immédiatement plus rassurant, je me mis à penser qu’une fois sur mes jambes, je pourrais mieux m’occuper de maman...et cette malheureuse pensée fit faire un bond immédiat à mon sexe qui se mit à durcir.
Non sans l’avoir remarqué, Suzie remit le drap sur mes ...