1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers


    Datte: 20/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... peux ? Tu sais que je ne suis pas en période dangereuse.
    
    Je n’ose en dire plus. Philippe comprend immédiatement :
    
    • Et tu as envie qu’ils jouissent en toi. Je te donne mon accord, ce sera mon cadeau pour la fin de ce séjour. Je m’occuperai moi-même de nettoyer ta chatoune adorée.
    
    • Tu es merveilleux. Je t’aime, mon mari candauliste !
    
    Je ferme le téléphone. Les deux pêcheurs se sont mis nus et sont impatients. Je comprends que Vangelis a envie de moi lui aussi et je vois que sa virilité n’a rien à envier à celle de son fils.
    
    Ils n’ont pas compris la conversation en Français, mais au signe que je leur fais, ils savent que j’ai obtenu l’accord dont j’avais besoin pour ce moment qui va être l’épilogue de cette semaine exceptionnelle.
    
    ***
    
    Je me retrouve entre les deux pêcheurs et je sens contre moi leur désir et leurs virilités. Contrairement à ce que j’ai vécu la veille avec « Monsieur Loukas », le directeur de l’hôtel, qui m’a traité comme une vulgaire putain, ces deux pêcheurs, qui sont pourtant des hommes réputés rudes, vont me considérer avec beaucoup plus de respect, attentifs à mon plaisir autant qu’au leur. Ils ne me le diront pas, mais je l’ai ressenti : pour eux, rencontrer une femme telle que moi est une chance, presqu’un privilège. Cette fois, pas d’injures, mais des mots qui expriment respect et tendresse, et plus encore en ce qui concerne Stephanos. Ils m’appellent « Despina » (Madame), Prinkípissa (« Princesse »), ómorfi mou (« Ma belle »), ...
    ... Agapité mou (« Ma chérie »)
    
    Je me sens bien avec ces hommes, rassurée. Je me sens comme Aphrodite qui se livre à deux mortels sur cette plage déserte.
    
    Vangelis et Stefanos maîtrisent leur impatience et la mienne. Leurs baisers sont chauds, leurs caresses font monter encore mon excitation. A tour de rôle, leurs doigts fouillent ma chatte béante et trempée, alors que leurs langues et leurs bouches affolent mes tétons, durs de désir.
    
    J’ai envie à mon tour de m’occuper d’eux et je branle leurs belles queues, avant de me mettre à genoux pour leur faire bénéficier de mes talents de fellatrice. Quand je sens que l’un est sur le point de rendre les armes, je passe à l’autre, afin de prolonger ces moments magiques. Ils ne baisent pas ma bouche, ne me forcent pas à les prendre jusqu’au fond de la bouche, ne m’imposent pas de gorge profonde. Je suis heureuse qu’ils me laissent tout le temps dont j’ai envie pour cette pratique que j’aime tant. J’aime leur goût fort, un peu iodé, et me régale du bonheur qu’ils expriment et des compliments qu’ils me font.
    
    Il vient un moment où nous avons envie d’autre chose. Je veux être prise. Vangelis laisse la priorité à son fils, Stefanos. Je m’allonge sur la couverture qu’a installée Vangelis.
    
    Je suis allongée sur le dos, et replie mes cuisses contre mon buste. Stefanos se place au-dessus de moi et passe ses bras sous mes genoux, pour m’aider à maintenir mes jambes en l’air. Ainsi offerte, je reçois de plein fouet les ardeurs de mon amant. ...