1. bal de campagne 2


    Datte: 20/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... dévoile la moitié de ses fesses et un débardeur échancré. Les gars ont tous opté pour des bermudas ou des blue-jeans.
    
    Tandis que je charge le coffre de mon Autobianchi, je vois partir les autres mais je suis confiant, car Cathy connaît le chemin. Heureusement car lorsque je rejoins la route principale, ils ont déjà disparu.
    
    Cathy me guide et je roule tranquilement sur les petites routes de campagne.
    
    - C’est Gaelle ou Stéphanie qui est avec Pierre ? demandai-je à Cathy.
    
    - On voit que tu ne connais pas bien ton cousin.
    
    - Il n’est pas avec elle ?
    
    - Oh si ! il est avec les deux.
    
    - Les deux ?
    
    - Eh oui, le petit Pierrot, c’est une bête de sexe. Elles ne sont pas trop de deux pour le satisfaire.
    
    - Elle te l’ont dit
    
    - Non, je le sais. On a déjà flirté un peu, à l’époque.
    
    - Flirté ?
    
    - Oui, enfin, disons qu’on a déjà été ensemble, mais ça ne collait pas. Il a besoin de quelqu’un qui s’occupe de lui en permanence, et moi, j’ai besoin d’indépendance.
    
    - Ça ne collait pas au lit ?
    
    - Ah non, ça collait même trop, et trop souvent. Et puis moi j’aime le changement.
    
    En disant ces mots, elle vient poser sa main sur mon sexe qu’elle commence à masser. Inévitablement, suite aux tensions de la fin d’après-midi une bosse durcit dans mon pantalon.
    
    - Je ne suis pas sur que ta sœur apprécierait, lui dis-je
    
    - Ne t’inquiète pas de ma sœur. Tu n’as pas envie de moi ?
    
    - Je te trouve plutôt canon, mais..
    
    - Tiens, tourne à droite à la ...
    ... prochaine
    
    En quelques minutes, nous nous garons près d’une grange ouverte. Cathy descend et je la suis. Elle se débarrasse de son débardeur et vient se coller à moi. Nos lèvres se trouvent et un long baiser nous unit. Mes mains partent à l’exploration de son corps de liane. Elle me mord la lèvre quand je pince ses tétons érigés, gros comme des framboises. Elle m’entraine sous l’abri vers les bottes de paille, s’asseoit sur l’une et entreprend de défaire ma ceinture et de descendre mon jean. Ma queue, jaillit sous ses yeux et elle la saisit en la caressant, tout en lui parlant :
    
    -là, tout doux, calme, ça va aller.
    
    Puis elle se penche et commence à embrasser mon gland. Elle sort sa langue et parcourt ma hampe jusqu’en bas. Elle s’agenouille, et gobe mes couilles l’une après l’autre en me caressant. Elle remonte et embouche ma queue, en suçotant d’abord le bout, avant de s’avancer de plus en plus, sans cesser de me dévisager. De temps en temps, elle m’engloutit jusqu’à la garde, mon gland venant taper sur sa luette. Elle éructe, pleure un peu mais ne me rejette pas. Je sens qu’à ce rythme là je ne vais pas tenir longtemps et je l’en avertis. Elle me délaisse alors et grimpe sur la botte de paille, en m’attirant près d’elle.
    
    A quelques centimètres de mes yeux je vois ses doigts défaire un à un les boutons de son short, qui s’écarte, petit à petit, me dévoilant sa peau nue et dorée, puis un ticket de métro de poils noirs très courts. Ses mains prennent les miennes et les posent de ...
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