1. La petite chienne de Maîtresse P. 12


    Datte: 18/12/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byGinaputana, Source: Literotica

    ... faire de toi un jour ce que les anglo-saxons appellent une brainless bimbo, que l'on pourrait traduire par une bimbo décervelée. Tu sais les belles bimbos qui n'ont plus grand chose dans la tête, des objets sexuels parfaits, qui s'habillent toujours comme de belles putes, exhibant un maximum de peau et en cachant le strict minimum, qui écoutent les conversations des gens mais sans pouvoir y prendre part, sauf à dire des bêtises qui permettent de les identifier immédiatement comme telles, mais surtout éduquées à être toujours prêtes à accueillir une bite en elle, avec l'unique et permanent souci de leur apparence physique, de leur maquillage, de leurs ongles, qui n'ont plus que des préoccupations totalement futile; leur beauté, leur perfection physique et celle de leur apparence et surtout une disponibilité sexuelle permanente et plus rien d'autre. Ajoutons encore encore le shopping, les sites internet d'influenceuses, les journaux et les émissions de TV pour bonnes femmes. Ça serait bien si tu devenais ainsi un jour. Ce jour là je demanderai à Irina de te prêter pour te violer, dit-il avec un grand sourire. Mais là tu es encore trop garçon pour moi.
    
    Sur ces dernières paroles, il embrassa Maîtresse, me gratifia d'une nouvelle claque sur mes fesses, en quasi propriétaire, me montrant à quel point j'avais déjà perdu de dignité masculine et nous quitta.
    
    Dès après, bien sur, Maîtresse réclama son petit service, d'abord lingual, puis avec mon membre. Je me sentais de plus ...
    ... en plus instrumentalisé, utilisé comme une simple petite machine à lui donner son plaisir, devant suivre ses directives, ralentir ou accélérer le rythme, la caresser ainsi et ainsi, jusqu'à son orgasme libérateur, de manière très mécanique. C'est ainsi qu'elle aimait m'utiliser. Puis je fus libéré. C'est Judith qui s'occupa de commander les médicaments qu'elle ne put aller chercher que le lendemain.
    
    A partir de ce moment les choses commencèrent à changer drastiquement. Le même lendemain matin je reçus ma première injection hebdomadaire d'hormones, tout en devant avaler plusieurs tablettes tous les jours. Effectivement, cela n'avait pas beaucoup d'effet sur ma virilité, toujours prête à satisfaire les besoins sexuels de Maîtresse, comme l'avait prédit Charles. C'est Judith qui prit en charge mon éducation physique, vestimentaire et comportementale, mais toujours sous supervision de Maîtresse qui s'intéressait beaucoup à mon évolution.
    
    Judith passait désormais chaque jour des heures avec moi dans ma chambre pour m'apprendre à porter des habits de fille, à modifier ma démarche pour la rendre plus féline et plus féminine, à m'habituer à porter des talons, de plus en plus hauts, à savoir marcher avec, à savoir me comporter de manière sensuelle et provocatrice, pour allumer les mecs. Elle m'avait aussi totalement épilée, cela avait pris une semaine, chaque jour une nouvelle partie de mon corps. J'exerçais tout ce qui contribuait à faire de moi une belle petite salope en même ...
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