Une histoire de fille qui s'lit à 200km/h (partie 1)
Datte: 18/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Phalien Satiab, Source: Hds
... moi-même, j’me carresse sans fioriture. Comme à soir j’ai l’goût de faire durer l’plaisir, j’ai mon gode à portée de main.
Aussitôt que j’pose mes doigts sur mon clito, j’le sens sensible. Au moindre effleurement, je tressaille et ça m’fait sourire. Un frisson agréable parcourt mon corps en entier; pas le même que tantôt, celui-là s’en est un d’excitation, d’anticipation du plaisir à venir. J’mordille ma lèvre inférieure, j’me sens espiègle. Jambes bien écartées, j’trace des cercles autour de lui et j’le frotte dans tous les sens. Sa réponse est instantanée, j’suis submergée d’une sensation indescriptible. [i]Pas besoin d’vous dire que c’est inutile de m’lècher les doigts pour les humecter vu que j’suis inondée tout juste en bas. De temps en temps, j’m’attise en allant cueillir un peu d’cyprine pour l’abreuver parce qu’à soir, y est assoiffé.[/i]
Ma respiration est de plus en plus lourde. J’halète alors que mon corps accumule de l’énergie sexuelle tel un condensateur puis, j’me mets à laisser aller des soupirs de plus en plus indiscrets et que’ques gémissements viennent même s’y rajouter.
“Hahhh. Hahhh. Hmmm. Hahhh.”
Loin d’y aller furieusement, comme j’en ai parfois l’habitude, j’me laisse envahir par le plaisir tout en me r’mémorant d’quoi y avait l’air au trois quarts nu à la piscine. J'atteins soudainement une apogée éphémère qui m’fait soubresauter alors qu’un courant électrique partant de mon entre-jambes se disperse dans tout mon corps. J’ai la sensation ...
... que j’dégouline sur les draps du lit de motel. [i]J’sais pas d’où vient toute c’t’e cyprine là, mais j’ai l’impression qu’j’ai une fuite de liquide présentement.[/i]
Toujours en labeur à me faire jouir, j’continue de stimuler mon clito avec mes doigts et mon cerveau avec mes pensées libidineuses envers l’mystérieux conducteur; et ça marche! Soupirs et gémissements s’entremêlent comme mes yeux roulent d’eux-même en arrière. J’ondule doucement du bassin comme si j’suis en train de l’baiser. Involontairement, les muscles d’mes fesses se contractent et se détendent.
J’gémis de plus en plus souvent et de moins en moins discrètement; j’ai pas à m’ret’nir vu qu’au p’tit matin j’vais être partie. Mon corps me signale qu’y est temps que j’me laisse aller mais, j’en ai pas envie; en fait j’en ai envie mais la sensation d’être à l’apogée, la vraie cette fois, est si bonne que j’veux pas qu’ça s’arrête. J’ai tellement chaud, comme si mon thermostat est collé ouvert, que j’me décache avec ma main encore propre.
Tôt ou tard y m’donne pas l’choix. J’en tremble tellement j’suis à la culmination de mon excitation. Pendant une quinzaine de secondes, voire un quart de mile, tous les muscles de mon corps se tendent. J’retiens mon souffle alors que, yeux fermés, j’vis pleinement ces que’ques secondes de plaisir intense comme mon corps décharge toute l’énergie sexuelle qu’y a accumulée. Ça m’fait gémir et m’plaindre sans ret’nue.
“Hmmm. Haaan. Hmmm.”
Haletante et rayonnante, j’ouvre ...