1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (2/2)


    Datte: 16/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Chez les Dubois, lorsque l’un d’eux, le père ou le fils veulent qu’une salope comme moi leur fasse une fellation, ils demandent de leur sucer le poireau.
    
    Pourquoi attendre plus longtemps pour lui sucer le poireau comme il dit et quel poireau !
    
    Plutôt courgette ou mieux concombre.
    
    Je leur en ai acheté au début de mon séjour et ce que me présente Jules s’apparente plus à leur longueur.
    
    Les concombres, je les ai déjà pratiqués, il y a bien, bien, bien longtemps, je pourrais même rajouter un dernier bien longtemps, car c’était dans ma jeunesse.
    
    La plupart des jeunes filles, c’est avec le sexe de leur petit copain qu’elles se font déflorer.
    
    Moi aussi, mais le retard de mes règles m’ayant tellement foutue la trouille que ce sont les bananes et les concombres qui ont entretenu mon trou vaginal.
    
    Ceci jusqu’à la rencontre avec celui que je devais épouser et qui m’ayant fait des enfants, je l’ai quitté en divorçant.
    
    • Suce ma belle, depuis que je t’ai vu je rêve de te la mettre dans la bouche.
    
    À ta façon de me regarder, je savais que tu en avais envie.
    
    Ton vieux à son âge doit jouer les abonnés absents trop souvent.
    
    J’ignorais que je l’avais regardé avec envie, mais si ça lui fait plaisir, comme je veux voir ce que le fils vaut en rapport du père, dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche en entier vu sa taille, je lui lèche le méat.
    
    Ma langue tout au long de sa verge sent les veines saillantes qui la composent.
    
    Une de mes mains le ...
    ... masturbe, l’autre lui caresse alternativement les couilles.
    
    De vraies balles de tennis, j’espère qu’avec je vais pouvoir faire quelques sets.
    
    J’ai envie qu’il entre en moi, je l’ai assez sucé.
    
    Je m’allonge, mes jambes s’écartent lui ouvrant le passage.
    
    Il se guide et d’un grand coup sans aucun ménagement, il m’embroche.
    
    Je me doutais qu’un gars fruste comme ce paysan du fin fond du Jura me prendrait comme une bête.
    
    Heureusement que j’étais déjà bien mouillée.
    
    Je hurle, mais c’est de plaisir, j’ai souvent du mal à démarrer.
    
    Là, dès ses deuxièmes coups de queue, je la sens monter cette boule qui me fuyait depuis si longtemps avant de baiser avec le père et maintenant le fils.
    
    Si Pierre savait ça, il aurait du mal à comprendre, bien qu’avec mon filleul et sa fiancée, des parties carrées étaient loin de lui déplaire, c’était il y a quelques années..
    
    (Là encore revoir les aventures d’Anne, ma muse).
    
    C’est la forêt au-dessus de nous qui m’entend chanter tout l’amour que j’ai pour la verge qui me défonce, me massacre, va certainement me laisser sans vie tellement, c’est enivrant.
    
    • Attends, tu es trop fougueux, je sens que tu vas exploser trop vite, allonge-toi, laisse-toi faire.
    
    Jules se redresse sur ses bras alors que je l’ai tout au fond de moi.
    
    • Allonge-toi, car moi aussi j’aime être dessus et la grosseur et la longueur de ta verge, dans cette position me permettrai de m’envoyer plus fortement en l’air.
    
    J’aime son regard incrédule ...
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