1. Petit manuel pratique pour chasses et pêches coquines


    Datte: 16/12/2024, Catégories: f, ff, ffh, fbi, fépilée, plage, forêt, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, init, Humour Auteur: EdenPlaisirs, Source: Revebebe

    ... attendant un coup de vent. Il faut dire que je n’en avais pas cru mes yeux quand Paulette s’était avancée sous le couvert des arbres. Du coup, je me remuai fissa le popotin pour rejoindre ma chérie devenue un peu trop aventureuse à mon goût.
    
    — Elle est très grosse…
    
    Non, mais… Paulette ! Oh la vache ! C’était terrible d’entendre la voix brusquement voilée de Paulette et ça m’avait fait aussitôt monter une bouffée de jalousie à la gorge.
    
    — Elle vous plaît ?
    — Oui… Elle est très dure… J’aime beaucoup…
    
    Mais ce n’était que le début. Quand je la regardais remonter son débardeur sur ses seins et baisser son short… Je me rappelle avoir été proche de l’attaque cardiaque et c’était comme si mon cœur s’arrêtait. Ensuite…
    
    Eh bien, ensuite, le petit bois devenait un petit coin de Far West et je ne comprenais plus rien à rien. J’étais plongée dans une sorte de brouillard nébuleux. J’étais aussi perdue que Pocahontas avait dû l’être devant les verroteries des autres salopards qu’elle voyait pour la première fois.
    
    — Je peux ?
    
    Ce n’était plus ma Paulette qui s’était retournée vers moi, souriante, les tétines au vent et la chatte courant la pampa. C’était Calamity Jane qui me faisait face. Sa longue main était restée en arrière et son index me désignait le gros chibre tout dur de son Davy Crockett. Calamité Paulette me demandait l’autorisation de toucher notre proie.
    
    — Montre-lui ta chatte, ma belle !
    
    Je n’avais pas répondu, mais ma chérie avait compris que ma ...
    ... jalousie fondrait aussi vite que de la neige sous un soleil de plomb. Nous en avions parlé et je lui avais avoué que la voir avec une queue dans la main m’exciterait certainement beaucoup. Je n’avais pourtant pas osé aller jusqu’à lui dire que la regarder sucer une bite dure et tendue me ferait sûrement mouiller comme une folle.
    
    Et puis je m’étais comme laissé emporter par la scène que j’avais sous les yeux. Je m’étais approchée et avait imité Paulette en deux gestes lents, exhibant à notre cowboy mes seins bandés comme des arcs et ma chatte ouverte comme le Grand Canyon.
    
    Mon Paulo branlait doucement la longue carabine. Ou elle caressait la grosse queue du tigre du Bengale qu’elle apprivoisait. J’en étais à avoir les idées qui s’embrouillaient quand je remarquais que l’autre trappeur s’était enhardi et caressait un sein de ma chérie d’une main et la doigtait de l’autre.
    
    — Oh, c’est bon…
    
    Paulette ne tarderait plus à jouir et moi, comme une squaw plantée devant un totem, je m’en remettais à la grâce d’un Grand Manitou. Les doigts de ma main gauche sur un téton dur et les autres pinçant mon gros tomahawk sorti de son tipi, je me branlais comme une sauvageonne de la plaine. Le grand fauve avait feulé sourdement en éclaboussant les doigts de Paulette et ma chérie avait aussitôt joui en lâchant un cri de guerrière sur le sentier de la guerre que je n’avais pas compris. Certainement du Comanche ou du Cheyenne.
    
    Il faut bien dire que la voir jouir accrochée à cette grosse ...