1. Sylvie ma femme


    Datte: 13/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... admirer son intimité puis dépose une bonne quantité de crème sur ses lèvres après les avoir humidifiées.
    
    — "En attendant qu’elle fasse effet, donne-moi une cigarette, s’il te plait !"
    
    Je regarde, ou plutôt admire, ce corps qui, depuis que je l’ai découvert, me rend toujours aussi fou.
    
    — "Qu’est-ce que tu mates comme ça ?
    
    — Toi ma chérie… tu es toujours aussi belle…— Avec quelques kilos en trop…— Je dirais plutôt avec quelques rondeurs … qui te donnent un charme fou !
    
    — Flatteur !
    
    — Amoureux, je préfère."
    
    Ma main se pose sur son ventre et le caresse doucement, en appréciant la douceur de la peau. Lentement, je remonte vers ses seins dont, du bout du doigt, je dessine les contours. Anne me regarde, un sourire aux lèvres, immobile. J’atteins une aréole que je caresse puis m’attarde sur le téton qui la surmonte, espèce de petite fraise dans laquelle on aimerait croquer. Je le vois grossir, s’étirer, comme s’il s’éveillait. Anne ne bouge toujours pas mais sa respiration est plus courte. J’abandonne le délicat bourgeon et m’occupe de son voisin qui réagit de la même façon.
    
    — "Les dix minutes sont passées…"
    
    Je m’empare de la spatule et ôte la crème, entraînant les poils qui subsistaient. Je rince ensuite abondamment et découvre sa petite fente totalement imberbe, lisse, paraissant encore plus nue ainsi. J’ai pris soin d’amener un petit miroir que je place devant en demandant à ma chérie :
    
    — "Alors, ça te plait?
    
    — C’est bizarre… ça fait presque ...
    ... obscène…— En tout cas, c’est tout doux."
    
    Elle y passe un doigt et en constate ainsi la douceur.
    
    — "Hum… c’est vrai… on dirait une peau de bébé"
    
    Elle rallume une cigarette et se rallonge. Mes doigts retrouvent sa poitrine et je reprends mes caresses là où je les avais abandonnées. Je saisis un téton entre le pouce et l’index et le fais rouler délicatement, le faisant encore prendre du volume. Cette fois, Anne ne retient pas de légers soupirs. Mon autre main redescend sur son ventre et atteint le léger renflement de son pubis. Je le masse un peu et poursuis mon exploration plus bas. Mes doigts effleurent les lèvres, poursuivent vers les aines et caressent les cuisses. Peu à peu, ma chérie écarte les jambes et je remonte sur ses lèvres. Elles sont un peu plus ouvertes, un peu plus gonflées. Je les sépare délicatement, admire les petites lèvres roses, si joliment ciselées. Une certaine moiteur trahit l’émoi de ma chérie. Je flatte cette délicieuse vallée, si douce et si chaude. Mon index remonte un peu et trouve le bouton, encore encapuchonné. Quelques effleurements et il sort la tête, se redresse fièrement, comme pour mieux s’offrir aux caresses. Les soupirs de ma petite femme se sont mus en gémissements. J’abandonne sa poitrine, m’installe entre ses jambes, le visage à hauteur de son trésor. Des pouces, j’écarte les lèvres et reste admiratif devant cette fente, maintenant bien humide, d’où monte une si délicieuse odeur. Je m’approche un peu plus et souffle en sa direction, ...
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