1. Sylvie ma femme


    Datte: 13/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... sucer. Je comprends quand il me saisit les jambes et les relève ses intentions. Partagé entre le désir et la crainte de la douleur, je ne fais pas un geste.
    
    — "Sois tranquille, je serais très doux…"
    
    Il déchire l’emballage d’un sachet de lubrifiant dont il répand le contenu sur mon petit trou. Son doigt me prépare puis il s’en met une bonne couche sur le sexe. Face à moi, il pose son gland contre mon anneau et pousse légèrement.
    
    — "Détends-toi !"
    
    Je mets quelques instants pour me décontracter, instants pendant lesquels il reste immobile, attendant que je sois prêt. Une deuxième poussée et son gland franchit l’étroit passage. Je suis surpris de ne pas ressentir une douleur plus importante.
    
    — "Ça va ?
    
    — Oui… doucement…"
    
    Il poursuit lentement sa progression et, peu à peu, je me mets à aimer cette présence au plus profond de mon intimité.
    
    — "Voilà… je t’ai tout mis…"
    
    Je jette un œil vers Anne qui me paraît bien excitée de me voir ainsi embroché ! Sa main va-et-vient sur sa fente tandis qu’elle se fait peloter par Martine.
    
    Doucement, Karl ressort, presque complètement, puis me réinvestit. Je ne peux étouffer un râle de plaisir en le sentant à nouveau s’enfoncer et, rassuré, il se met à aller et venir un peu plus vite.
    
    Karl ne met guère de temps à jouir. Sortant de mon cul ses giclées m’arrosent le ventre, atteignant même mon menton.
    
    Anne vient vers moi, m’embrasse très tendrement et me demande :
    
    — "C’était bon ? Tu as aimé ?
    
    — Oui… ça ...
    ... fait bizarre, surtout au début, mais c’est plus qu’agréable…— Je vois, dit-elle en baissant les yeux vers mon sexe à nouveau en érection."
    
    Martine et elle éclatent de rire, vite suivies par Karl et moi. Nous nous rhabillons et quittons ce charmant endroit. Au lieu de prendre la direction de la salle, Martine file vers la gauche. Nous la suivons et découvrons une pièce beaucoup plus grande, où le sol n’est qu’un immense matelas. Plusieurs couples s’y ébattent, à deux, trois ou quatre. Notre amie ôte ses vêtements et, sans hésiter, rejoint le trio le plus proche de nous : deux hommes, plutôt jeunes, et une femme assez forte, paraissant au moins cinquante ans, et qui subit les assauts de l’un en suçant l’autre. Karl regarde sa femme s’emparer des seins de la femme et les peloter assez rudement.
    
    — "C’est une amie. Elle adore se faire un peu maltraiter… surtout par Martine pour qui elle a un petit faible."
    
    Il se met nu puis entreprend de dévêtir Anne. Celle-ci se laisse faire et, lorsqu’il lui prend la main, le suit sans l’ombre d’une hésitation. Je me mets à mon tour dans le plus simple appareil et, sur un signe de Karl, les rejoins. Anne, allongée sur le dos, jambes écartées, yeux fermés, reçoit l’hommage de nos mains et de nos lèvres. Pas une partie de son corps qui ne soit embrassée ou caressée ! Ses gémissements nous prouvent, s’il en était besoin, le plaisir que nous lui donnons. Son corps est parfois comme parcouru par des décharges électriques.
    
    Un autre homme se ...
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