1. Trois ans après – Janvier 1990 - Matilde


    Datte: 12/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    ... alors que je vis Matilde qui arrivait, toute pimpante. A peine arrivée, elle était dans mes bras : « T’es garé au bon endroit, … je veux profiter de cette dernière heure, … caresses moi, …» Je n’avais qu’à obéir et c’est ce que je fis, après avoir remonté sa jupe dont, elle accrochât un pan à sa ceinture : « Tu vois … j’ai pensé à toi, … caresses moi, … j’ai envie de sentir me prendre, … prépares moi, … tu sais le faire, … après je m’occuperais de toi, … et quand tu seras bien dur, … tu me prendras par derrière, … on n’a pas eu le temps, … j’en ai envie, … » En fait c’était ça, Elle avait mis une jupe, large, c’était plus pratique, et plus discret là, où l’on était. A peine le pan de la jupe accroché, je n’avais qu’à glisser une main entre ses cuisses bien écartées et à remonter, vers et sur sa chatte. Elle était là, bien au chaud et légèrement humide : « Rentres, … ne me fais pas attendre, … caresses moi, … » Il n’y avait pas à discuter et suivant ses ordres deux doigts s’enfoncèrent dans sa grotte d’amour : « Oui, … c’est ça, … j’aime ce que tu me fais, … je suis excitée au possible, … ». Elle en voulait, je la masturbais avec énergie, mais elle était tellement chaude qu’elle ne mit pas longtemps à couler : « Oui, … continues, … fais-moi jouir, … tu sais bien le faire, … après je serais entièrement à toi, … » Plus j’accélérais le rythme, plus elle soufflait et plus elle tendait son bassin vers mes doigts et brutalement : « OOOHHH, … OUIII, … OUIII, … » et pendant que sa ...
    ... chatte inondait ma main, qu’elle s’accrochait à mon cou, ses cuisses se refermèrent sur ma main. Elle reprit rapidement son souffle et alors qu’elle s’accroupissait, pantalon et caleçon furent descendu, « popol » sorti : « Hum, … il faut que je m’en occupe un peu, … je veux te sentir vibrer dans ma bouche, … je te veux dur, … que tu me prennes fort, … » et elle après quelques préparations elle me prit en bouche et elle ne fut pas longue à me faire bander dur même très dur comme elle disait. Et semblant satisfaite du résultat, elle se releva, se collant contre moi, tut en frottant son ventre contre ma bite elle me murmura : « Prends-moi, … comme j’aime, … encules moi, … j’en ai tellement envie, … » puis se retournant et se penchant, après avoir relevé sa jupe, elle posa ses mains sur ses feses et les écarta pour m’ouvrir le chemin de sa jolie et tentante rosette. Il n’ay avait plus qu’à se mettre en place, et par une approche aussi douce que ferme, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle se décontracte et que je la pénètre : « OH, … oui, … j’aime te sentir me prendre, … j’en avais en vie, … et je savais que ce serait bon, … depuis le temps, … prends moi fort, … » - « Tu ne t’occupes pas de ton minou, … » - « Oui, … j’attends que tu me le dises, … j’aime me caresser quand tu me prends par derrière, … oui, … continues, … » Malgré les « exercices de la nuit et du matin, et avoir sous les yeux cette belle croupe, j’avais la forme et bandais dur. Cramponné à ses hanches, je la ...
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