Jung-Hyun & John 05 - L'étudiante
Datte: 11/12/2024,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byCobalt_Blues, Source: Literotica
... qu'il l'avait prise quelques jours plus tôt. Et son John parcourait le monde sans relâche. Tous les mois ou toutes les semaines, il partait signer contrats et chantiers dans tous les pays imaginables, seul avec sa belle bouille et ses beaux costumes.
Son canadien semblait réfléchir à sa réponse.
Il avait tout pour lui. Son corps d'éphèbe, ses mains fortes, sa langue intrépide et sa bite qu'il maniait à la perfection. Alors comment pouvait-elle s'imaginer qu'il n'en fasse pas usage à chaque escale? Elle se sentit ridicule. Elle qui était prude et renfermée dans son mariage sans joies et sans saveurs. Sa vie sexuelle à elle se résumait aux nuits de solitude, à se tripoter devant des couples plus chanceux qu'elle s'adonnant aux plaisirs de la chair qui lui étaient inaccessibles.
Il partirait dans trois semaines à Oslo pour lancer un nouveau projet. Les Norvégiennes était blondes, se figura-t-elle ; elles étaient grandes, elles avaient de beaux seins bien lourds qui lui remplirait les mains pendant qu'il enfournerait sa grande verge excitée entre une paire de longues cuisses de blanche. Les occidentales, contrairement à elle, n'ont assurément aucune timidité. Ses Norvégiennes lui feront tout ce qu'il voudra, tout un tas de choses dont elle-même, simple Coréenne de bonne famille, n'avait jamais entendu parler.
Cette pensée la désespérait. Espérait-elle seulement qu'il se dise : « J'aime le sexe avec Jung-Hyun par-dessus tout, aucune autre femme ne peut me donner ce ...
... que Jung-Hyun me donne ». Qu'elle idiote, se dit-elle.
—Eh bien, fit-il enfin, non, tu n'es pas la première femme avec qui j'ai couché en dehors de mon épouse.
Il confirmait donc ce qu'elle s'imaginait. La contrariété tomba sur elle comme une immense massue de plomb.
Les deux étaient toujours allongés côté à côte sur le lit. Elle tourna la tête vers le visage de l'occidental qui fixait les étoiles fluorescentes du plafond.
D'un coup la surprise la saisi car, à travers la peine-ombre, elle remarquait maintenant les traits de John. Il n'avait pas le regard d'un homme fier de collectionner les conquêtes. Il avait l'air abattu, profondément triste.
—Je suis désolé, dit-il doucement, j'ai pas été franc avec toi. Si mon mariage est parti en vrille, c'est en bonne partie de ma faute.
Elle ne dit rien. Elle se sentait à présent comme en apesanteur, inquiète, attendant la suite comme un secret terrible et abject qu'il s'apprêtait à lui livrer. Il prit une profonde inspiration, et puis il poursuivit :
—Au départ avec Louise on était comme faits l'un pour l'autre. On était parfaits ensembles, on a eu les enfants, on était heureux. Et puis ma carrière décollait. Quand la boîte où j'avais fait mes débuts a été rachetée j'ai été promu d'un coup. On avait vingt-six, vingt-sept ans, on avait vraiment tout ce qu'on pouvait attendre de la vie. Et puis lors d'une soirée au bar avec l'équipe, on fêtait nos promotions, les contrats qui tombaient tout seuls. Avec tout cet argent ...