1. Prête pour prêt – Corfou samedi


    Datte: 10/12/2024, Catégories: fh, grp, inconnu, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, lieuloisi, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... fonctionne très bien. Ce radoucissement dans la jouissance est peut-être dû au fait que nous ne sommes pas seuls sur cette plage. Mais je sens confusément que c’est juste une légère trêve pour aller encore plus loin par la suite.
    
    Et puis, ce samedi n’est que mon premier jour…
    
    Le repas du soir, avec brochettes bien juteuses, est juste une pause afin de continuer ensuite cette alternance plage et mer. Je ne vais pas tout détailler, ce serait trop répétitif !
    
    Vers onze heures, pardon, vers vingt-trois heures, Norbert et moi regagnons notre chambre. Je m’écroule sur le lit épuisée, vidée, vannée, et tous les adjectifs en « é » du même genre. Norbert s’allonge auprès de moi, mais ne reste pas inactif, surtout ses mains…
    
    Tournant mon visage vers lui, je m’étonne :
    
    — T’as encore envie de baiser ? T’as fait que ça cet après-midi et même en soirée !
    — Je sais, mais j’ai encore quelques réserves…
    — Eh bé ! Faut pas t’en promettre, toi ! C’est OK, si tu fais ça vite, car je suis assez crevée, tu vois. J’ai besoin d’une bonne nuit de repos !
    — Je te rassure, je n’ai pas prévu de m’éterniser…
    
    Puis sans préliminaire, il s’installe posément entre mes cuisses pour m’octroyer un classique missionnaire. Je suis quand même assez étonnée de la facilité avec laquelle sa verge bien raide est entrée en moi. Il faut bien avouer que ce cher Norbert a déversé des litres de foutre dans ma fente, et que de ce fait, elle doit être bien lubrifiée ! C’est vrai aussi que tout ceci ...
    ... m’excite !
    
    Norbert coulisse plaisamment en moi. Parfois, il s’offre le luxe de sortir pour venir se frotter vicieusement sur mon clitoris exacerbé. C’est agréable, je le reconnais, mais même si je m’aidais de mes doigts, je n’atteindrais pas le nirvana, je suis trop hors service pour ça.
    
    Pas même avec une baguette magique ou merveilleuse !
    
    Du coup, mon amant fait sa petite affaire, souillant joyeusement mon antre naturel dans un long râle de plaisir non simulé. Puis il s’affale sur le dos à côté de moi. Capturant quelques mouchoirs en papier, j’éponge comme si j’avais reversé de l’eau. Encore heureux que je n’aie plus de poil, sinon ç’aurait été la bérézina pour nettoyer ! Ce n’est pas très romantique, mais je n’ai pas trop l’esprit à ça, j’estime avoir déjà bien donné de ma personne, surtout un réveil très tôt ce matin et des heures de voyage. Je ne suis pas Superwoman.
    
    Tandis que je viens de finir ma fugace et poisseuse toilette, ayant barbouillé quatre mouchoirs en papier, j’entends Norbert me questionner :
    
    — Au fait, tu connais la notion de logarithme ?
    
    En voilà encore une ! Ce n’est pas précisément le bon endroit ni le bon moment, pour demander un truc pareil ! Cependant, je réponds :
    
    — Oui, je connais. C’est mon père qui m’a le mieux expliqué ça ; certainement pas l’école.
    — Ah bon, ton père ?
    
    Me redressant un peu, j’explique :
    
    — Un jour, il m’a montré sa règle à calcul et il m’a expliqué comment on s’en servait. J’ai surtout retenu que c’était ...