COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison I (2/3)
Datte: 08/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... tu sais si tu parles des sexes des hommes, je suis sûr que tu aurais des mots aussi imagés que moi avec les attributs féminins.
Dis-moi, demain soir, si tu le veux, j’aurais bien du plaisir à te voir dans ma boîte, je te ferais visiter et rencontrer des copines.
• Impossible, je travaille le samedi matin, je dois être en forme.
• Je comprends, samedi soir alors.
Note l’adresse, c’est dans une petite rue discrète non loin d’ici.
• Sans te promettre, je verrai.
Le samedi, c’est loin, les deux soirs, je me suis enfoncée mon gode avec le regard de Marie sortant de mon cerveau.
Elle m’envoute et mon manque de sexe que je croyais avoir dominé, m’obsède de plus en plus.
Il est 22 heures quand je craque alors que je pensais rester bien au chaud chez moi.
Je veux surtout voir l’ambiance du bar de ma nouvelle amie.
Au fond de moi, les amours lesbiennes me passant par-dessus la tête, aucun autre intérêt pour moi.
Une petite rue bien calme, une porte avec marquer « Club privé ».
Un petit Juda qui s’ouvre lorsque je sonne et une belle noire brune m’ouvre la porte.
• Bonsoir, je viens voir Marie.
• Tu es Sophie, je suis Gladys.
Depuis deux jours, Marie nous a parlé de toi espérant ta venue, elle est intarissable.
Entre, elle est au bar, tu vas la rendre heureuse.
• Sophie, quelle joie de te recevoir, je pensais que tu aurais peur de venir dans ce lieu de perdition.
La femme que j’ai devant moi est bien différente de celle avec qui je ...
... mange.
Short en cuir, bottes à la d’Artagnan et lanières de cuir se rattachant sur un bustier fait de lanières de cuir noires entourant ses seins sans pour autant les cacher.
Elle est maquillée outrageusement, mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, ça lui va bien.
Ça met sa jeunesse en avant comparé à moi qui suis habillée façon classique, Jean avec basket et chemisier.
• C’est bien ce que je pensais, tu es fagoté comme dans les années 1930, voyons si l’on peut arranger ça.
Elle commence par m’embrasser tout près de mes lèvres, je suis à la limite de frissonner.
Elle ouvre carrément mon chemisier et passe ses mains pour défaire mon soutien-gorge.
Elle en profite pour me les caresser.
Une nouvelle fois, je frissonne.
Serais-je sensible aux caresses féminines ?
Autour de nous une douzaine de femmes, certaines en couple, dont certaines étant en train de danser.
En trio et même une grande rousse picolant seule au bar, assise sur un grand tabouret.
Elle aussi est assez représentative des femmes ayant un genre spécial.
Elle est entièrement rasée, elle a des piercings partout et des tatouages sataniques.
Mon soutien-gorge me quitte.
• Ce machin, poubelle, nous irons en acheter des plus sympas.
Regarde comme le mien qui les souligne et te les montre dans toute leur splendeur.
Mercredi prochain ton homme te déchargera sur les mains en trois coups de cuillère à pot.
Maintenant, ce chemisier, noue le sous tes seins, regarde, ...