Amour d'outre tombe 2
Datte: 07/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... déplace dans le jacuzzi pour me retrouver entre ses jambes, posant mes mains sur ses cuisses. Ma tête est à moins de vingt centimètres de son pénis dardé. Il me prend alors une main et la pose délicatement sur la hampe massive, puis repose la sienne sur le bord de la margelle, me laissant le choix de ce qui va suivre.
Je retrouve à nouveau ce que j'ai ressenti l’autre jour dans son lit, toujours aussi impressionnée face à cette confrontation de « La Belle et la bête ». Sous son regard attendri, je me hasarde enfin à branler cet incroyable chibre qui finit sa croissance dans ma main trop petite pour pouvoir complètement l'emprisonner entre mes doigts. Il me rassure.
-On va y aller doucement pour le moment, je te laisse jouer avec mon chibre autant que tu le désires, si tu décides d'aller plus loin après, je te porterai dans mes bras jusque dans la chambre.
Dans un sens, je suis contente qu'il ne me brusque pas, me contentant de mon joujou, je m’enhardis, une main saisissant ces bourses prometteuses pendant que l'autre va et vient sur cette hampe magnifique, calottant et décalottant la grosse fraise à son extrémité. Je n'y tiens finalement plus et gobe son gland entre mes lèvres, titillant le méat du bout de ma langue. J'ai rarement fait ça avec mon défunt mari, n’y éprouvant que peu de plaisir, mais là, il y a de la matière…
J’avale avec difficulté la grosse prune et quelques centimètres de cette formidable poutre qui n'a rien à voir avec la bûchette de mon mari. ...
... Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je ne me reconnais plus. Ma main droite monte et baisse à une vitesse folle sur son nœud pendant que l'autre pétrit ses bourses et que ma bouche attend le résultat de toutes ces sollicitations sexuelles. Je croyais réussir à le faire jouir en quelques minutes comme mon défunt mari mais je dois m'escrimer pendant presque vingt minutes avant de l'entendre geindre et sentir sous mes doigts vibrer d'impatience son bâton crémeux. Je repose vivement mes deux mains sur ses cuisses ne gardant en bouche que l'extrémité de son gland d’où jaillit enfin une véritable fontaine de foutre. Je m'attendais à une petite dose comme avec mon mari, mais là je suis confrontée à un flot presque ininterrompu d’une semence épaisse. M’étouffant presque sous la dose, je recrache son gland qui une fois libéré, monte et baisse par les contractions ininterrompues de son périnée, projetant des arabesques de foutre qui passent au-dessus de ma tête avant de se diluer en filaments dans l'eau du jacuzzi, me crépissant aussi les cheveux et le front des restes de sa crème au passage. **
Quand enfin la source se tarie, je plonge la tête sous l'eau pour me nettoyer un peu le visage. Quand je refais surface toujours entre ses cuisses, je constate effarée que malgré que la bête a baissé un peu la tête, il ne faudrait pas beaucoup de sollicitations de ma part pour que le fauve se réveille. Suis-je prête à aller plus loin ?
Est-ce que mon défunt chéri y est pour quelque chose ...