COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (3/3)
Datte: 07/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (3/3)
J’aurais pu conclure mon histoire à la fin de ce deuxième chapitre.
Boulangère dans un petit village Breton non loin de Carnac et de ses alignements, je suis la propriétaire de la boulangerie que nous avaient donnée mes parents.
Depuis ma naissance, j’avais tendance à avoir de grosses miches avant et arrière.
Mon père ayant peur que je reste vieille fille m’avait offert à son apprenti lui donnant sa boulangerie en guise de cadeau de noces, s’il m’épousait.
J’avais fait le nécessaire pour me faire aimer de ce garçon lui-même un peu disgracieux étant épais comme une ablette.
La grosse vache et le grand échalas, c’est ainsi que dans notre village nous étions perçus.
J’aurais pu couler des jours heureux avec Paul, c’est le nom de ce grand garçon, très bon boulanger et grand travailleur qui pendant plusieurs années a su faire du pain pour toute notre population.
Hélas, trois fois, hélas.
Le jour de la kermesse annuelle, grande fête de notre village, est-ce le surmenage pour avoir fourni les besoins habituels des habitants un dimanche, sans compter ce qu’il fallait pour cette fête, il a été frappé d’hémiplégie.
Le boulanger hors d’état de fabriquer son pain, j’aurais dû fermer la boulangerie et obliger nos habitants à faire de nombreux kilomètres afin d’aller chez Lucien et Sylvie nos homologues de la ville voisine.
Par chance un an plus tôt, Richard le maire de notre village nous avait demandé ...
... d’héberger un immigré africain, Amadou, qui souhaitait apprendre, comment nous faisions notre pain en France.
Nous aurions pu hésiter, mais Richard notre maire et copain de Paul a su être persuasif, en quinze jours, il a su faire fabriquer un petit appartement dans notre cour par ses services municipaux, afin de l’héberger.
Sans être vénielle, une pièce avec petite salle de bain et nécessaire pour ce faire à manger pourrait dans le futur nous apporter un supplément de salaire bien utile pour nos vieux jours.
Amadou a sauvé notre boulangerie en fabriquant le pain presque mieux que mon mari qui après l’hôpital a rejoint une structure où il pourra recevoir tous les soins nécessaires.
Il était tellement proche d’un légume, qu’il m’était impossible de le garder à la boulangerie.
Amadou, en plus du pain, confectionnent des fars bretons que nos clients s’arrachent tous les dimanches, aux pommes, aux pruneaux ou aux poires.
Nos recettes sont supérieures à celles de l’an passé, l’argent, c’est bien, mais le manque de sexe a commencé à me peser.
Une femme seule avec un jeune homme seul, par chance Amadou a su me satisfaire un dimanche avant que nous montions manger le poulet livré par Charles le boucher charcutier du village.
Paul me baisait après m’avoir pesé mes énormes seins, Amadou s’est contenté de les soupeser avant de m’ôter ma petite culotte et de me laisser glisser sur son mât de cocagne.
Ça fait presque deux semaines qu’Amadou a rejoint ma couche ...