1. C03 - La vie d'Abella


    Datte: 06/12/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAPVapv, Source: Literotica

    ... constata que le gros bonhomme en conçut une certaine fierté. Il continuait en crochetant habilement ses doigts sur la partie antérieure du vagin. Abella lâcha un gémissements malgré elle. Son sexe s'inonda de cyprine.
    
    - Albert! Elle mouille, dit Victor qui continuait son savant doigtage.
    
    Abella tourna la tête refusant d'avoir du plaisir. Elle ne vit pas qu'Albert Descourt s'approcha du lit.
    
    - Tu mouilles de plus en plus ma belle, constata malicieusement Victor Leclerc.
    
    La comédienne ferma les yeux pour mieux se soustraire à cette abomination. Non, elle ne pouvait pas aimer cela. Ce n'était pas possible de ressentir ces sensations pendant que ces horribles hommes la violaient. Mais le gros bonhomme accentuait son doigtage de mieux en mieux.
    
    - Tu es une salope en plus d'être une pute. TU VAS JOUIR! hurla le producteur.
    
    - NOOONNNNNN, se redressa Abella comme pour se soustraire à l'horrible plaisir qui montait en elle.
    
    Mais à ce moment-là, Albert Descourt pinça ses deux tétons fortement et les vrilla brutalement en lui sussurant à l'oreille qu'elle allait jouir. La douleur fit hurler la jeune fille et, quand les doigts de l'acteur lâchèrent soudainement ses tétons, l'orgasme monta. Telle une crue gigantesque, la petite fut submergée. Une lave incandescente corroda son ventre et son sexe. Jamais un tel orgasme fut si fort, plein et envahissant. Victor continuait de la branler vigoureusement et là, Abella éjacula. Un puissant jet gicla loin dans la chambre, ...
    ... puis, accompagnant son cri d'orgasmes continus, elle éjaculait.
    
    Elle ne s'aperçut même pas que Victor avait cessé et qu'Albert Descourt caressait gentiment ses seins en les embrassant. Sur une nappe flottante, son esprit divaguait loin du lit, de la chambre, de l'hôtel particulier, de son viol.
    
    Elle reprit doucement ses esprits alors que les deux hommes la portaient. Les bras sous ses aisselles, les vieux la transportaient à travers la chambre. Elle ne réalisa pas qu'ils l'installèrent au-dessus du fauteuil Voltaire. Toujours l'esprit vaporeux après les immenses orgasmes qu'elle avait subi, la pauvre fille ne sentit pas que son sexe était forcé.
    
    - Doucement ma petite, doucement, répétait Victor Leclerc.
    
    - Ne t'inquiète pas mon ami, elle est complètement dilatée.
    
    Une violente douleur cissailla le sexe et le ventre d'Abella. Elle se réveilla enfin. Les monstres l'avaient empalée sur la boule en bois de l'accoudoir. Distendue, son sexe avalait la boule de chêne. Elle gueula comme une bête, la douleur la rappelant à la réalité. C'est Albert Descourt qui gifla à plusieurs reprises ses seins pour qu'elle ne bouge pas.
    
    Puis, Victor prit sa cravate et attacha les deux poignets de sa comédienne à l'autre accoudoir. Fermement maintenue, Abella ne pouvait plus s'échapper de la douleur et de l'humiliation. Le string fut bourré dans la bouche d'Abella qui gueulait et attaché par le nœud papillon.
    
    La douleur trop forte, la jeune comédienne n'osait pas bouger de peur de ...