1. Les Grandes Soeurs (02) : Artique


    Datte: 05/12/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byAPVapv, Source: Literotica

    ... quartiers de viande sur le sol et s'affala sur sa couche, exténué.
    
    Najak ne perdit pas de temps et abreuva Nuliaq d'un peu de sang et de viande qu'elle avait au préalable mastiqué.
    
    - Mik, Najak, Mik (s'il te plaît, s'il te plaît) implorait-elle à sa belle-sœur en regardant son mari effondré sur le sol à moitié mort.
    
    Najak savait bien ce qu'il fallait faire. Elle avait bien vu sa mère le faire souvent et, elle-même le dut quelque fois lorsque son mari rentrait d'une rude pêche. Toutes les femmes Inuit se transmettaient ce savoir, ces gestes de survie. Le repos du guerrier n'était pas une vaine expression dans le peuple autochtone des régions arctiques.
    
    Approchant de son frère, l'Inuit lui enleva son lourd manteau. Puis, elle ôta les différentes couches de vêtements. Son frère était nu. Sa peau bleue lui fit peur. Osant à peine regarder les parties intimes de son cadet, elle tourna la tête vers sa belle-sœur pour avoir son approbation. Nuliaq lui sourit et l'implorait de faire vite.
    
    A moitié mort, Choris était inconscient. Avec une certaine appréhension, Najak retira ses vêtements. Quand ses petits seins tout ronds touchèrent la peau glacée de son frère, ses tétons se dressèrent et des frissons parcoururent son corps de femme. Elle se recouvrit d'une immense fourrure et de différentes étoffes. Leur masse l'écrasa contre le corps froid de son frère cadet dont la respiration très saccadée avisa la jeune femme sur son état de santé. Il fallait faire vite pour le ...
    ... réchauffer.
    
    Najak le serra très fort. Ses petits bras entouraient le buste frigorifié. Ses jambes nues enlaçaient celles de Choris. Elle soufflait dans le cou du jeune homme pour le réchauffer. Elle se souvenait de leur mère restant des heures à ranimer le corps de son mari. La jeune femme inuit avait également en mémoire la peau froide de son mari. Les heures passées à le frotter, à l'étreindre pour le réanimer. Puis les heures.... d'intimité après des jours d'absence et d'abstinence.
    
    Les petites mains de Najak commencèrent à frotter les épaules robustes de son frère cadet. Après l'anesthésie due à la froidure du corps de Choris, la jeune femme ne sentait pas le contact de sa peau. Peu à peu, cependant, la chaleur sous les épaisses couches d'étoffes, ravivait sa sensibilité et elle éprouvait les muscles saillants de son frère sur son ventre plat. Ses seins s'écrasaient sur la poitrine musclée. Sa bouche goûtait le sel de la peau qui se réchauffait insensiblement. Son sexe également...
    
    Non! Najak se refusa à laisser cette pensée s'immiscer dans son esprit. Elle se redressa un instant et observa Nuliaq qui s'était endormie. Le peu de nourriture que la femme enceinte avait ingurgité et le retour de son mari dut la rasséréner. Elle dormait paisiblement et la fièvre semblait avoir disparu. Le vent soufflait encore fort dehors. Najak s'étendit à nouveau sur son frère et se remémorait sa vie d'avant : sa jeunesse auprès de ses parents aimants, son mariage avec un cousin ...