Soubrette
Datte: 05/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Orenbarre, Source: Hds
Cette histoire c’est passé, il y a bien longtemps. Maintenant que j’ai une soixantaine d’années elle revient à ma mémoire quand je vois de jeunes et jolies filles.
Comme je l’ai déjà dit cette histoire remonte à pas mal d’années en arrière. Je devais avoir entre 18 et 20 ans et j’habitais encore chez mes parents. Mon père était un opulant bourgeois, héritier d’une ancienne famille parisienne qui avait gagné sa fortune sur le dos de ses ouvriers qu’il payait une misère. A la maison, nous avions des domestiques : une cuisinière, un major d’homme et une femme de chambre. J’avais passé mon enfance avec eux et était peut etre le seul membre de la famille à les considérer comme des proches. Jeanne la femme de chambre qui m’avait pour ainsi dire élevé pris sa retraite le jour de mes 18 ans et alla s’installer à quelques pas de chez nous ce qui me ravit car je puis lui rendre visite par la suite. Ce qui me ravit aussi c’est le physique et l’age de sa remplaçante ! A peu près mon age, brune et un corps aux formes avantageuses, une vraie poupée de magasines…
Très vite je m’entendis avec elle et ce malgré la différence de classe sociale.Mais il faut dire que nous étions les deux seules personnes de moins d’une cinquantaine d’années de la maison. Sophie, c’est son nom était toujours gaie, souriante et pleine d’entrain ! Elle avait dans l’œil une petite lueur coquine qui rajoutait encore plus de piquant à son charme naturel. Sophie parlait beaucoup, de tout et n’importe quoi et peu ...
... à peu notre complicité nous amena à parler de choses un peu plus intimes. Très timide et issu d’un milieu strict en ce qui concerne les mœurs, je ne savais pas grand-chose des choses de l’amour, je n’avais jamais vu de fille dénudée et bien sur n’y avait jamais touché ! Meme le flirt m’était inconnu.
J’appris donc de Sophie pas mal de choses, elle me raconta ses propres expériences et me fit connaître mon premier flirt. Malheureusement pour moi, et je mesure aujourd’hui combien j’ai été stupide à l’époque, je n’osais pas aller plus loin avec elle à ce moment là ! Ma timidité maladive m’empéchait de prendre l’initiative et je rougissais à chaque fois que Sophie me faisait sentir son désir que je devienne plus entreprenant. Bien sur aujourd’hui une fille aurait pris les choses en main, mais à l’époque cela ne se faisait pas et nous restions tout deux à notre frustration, moi ressentant tout le poid de la tradition et des convenances peser sur ma libido et elle étouffant sous la douce chaleur de son corps en émoi.
Au bout de quelques semaines, Sophie, sans doute en colère contre moi, se fit plus distante avec moi. Par contre, si elle me parlait moins par la parole, son corps lui me parlait toujours autant, il me disait viens, viens me toucher, viens me caresser, viens m’embrasser, viens prendre possession de moi… Cet été là, la mode était a la mini-jupe ! Et sophie s’habilla donc malgré le fait que ma mère voit cela d’un mauvais œil, beaucoup plus court qu’à l’accoutumé. ...