Plaisirs des dames à Rotterdam (1ère partie)
Datte: 04/12/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Couple-subtil, Source: Hds
... à quatre pattes. » Elle l’avait pénétré, branlé, lui avait attaché les couilles pour qu’il la « baise longtemps ». Il avait obéi, fasciné par ses fesses, ses seins. « Baiser une femme comme moi pour un asticot comme toi, avec ce sexe tout juste moyen ça se mérite ! » Elle l’avait menotté puis lui avait uriné dessus dans la baignoire. La suite avait été moins drôle car elle avait perdu la clé des menottes. Enfin c’est ce qu’elle lui avait dit en le faisant dormir dans un réduit : « Demain on t’amènera chez un serrurier.
- Faites moi jouir au moins. » Parce qu’attaché il n’avait pas pu jouir et qu’il bandait comme jamais en dépit des menottes qui lui cisaillaient les mains. « Non ce ne serait pas raisonnable. Je vais plutôt te calmer. » Pour le calmer elle l’avait fouetté. Puis enfin libéré le matin. La grande claque qu’elle lui avait mise avait mis fin à leur nuit d’amour. Et dans le train elle l’avait de nouveau regardé avec cet air possessif qu’elle avait eu dix ans avant. De cet air qui semblait dire « toi tu ne m’échapperas pas ».
Mais pour l’instant c’était avec Jean-Michel et sa femme que Chrystèle et Léopold copulaient sous l’œil blasé des couples néerlandais et belges – pas d’hommes seuls le samedi – déjà pour la plupart en culottes ou caleçons. Car on approchait minuit, heure à laquelle il fallait impérativement être dans le plus simple appareil. Jean-Michel dut donc écourter sa séance avec Chrystèle au grand soulagement de Léopold qui sentait qu’il allait ...
... bientôt jouir dans la petite Sybille, sans doute la plus petite femme qu’il ait jamais possédée mais dont le sexe semblait l’absorber.
Destination donc les casiers à vêtements pour y déposer le peu qui restait sur eux. « C’est pratique, on ne perd rien », défend Jean-Michel qui se souvient de la fois où, distrait, il était parti avec deux chaussures différentes d’une soirée. Erreur que n’avait pas compris sa première ex-femme.
Maintenant pratiquement nus, Chrystèle et Léopold rencontrent un couple de Néerlandais estomaqués devant la poitrine de Chrystèle. La femme du couple s’approche. Très blonde, très grande, très mince, elle indique un escalier et leur propose de monter en anglais. Ils les suivent elle et son mari, très grand, voire immense, totalement nu avec un long sexe qui pend entre ses jambes et annonce de belles choses.
En haut ils sont dans une sorte de grande psychédélique. La grande femme indique à Chrystèle de se coucher sur une sorte de banc en cuir noir. Elle prend un magic wand vibrant et, écartant les cuisses de Chrystèle après lui avoir embrassé la bouche et les seins, s’applique à la faire jouir. Pendant ce temps son mari approche son sexe de la tête de Chrystèle et l’y promène. Derrière la grande Néerlandaise, Léopold lui a empaumé les seins, un peu petit, et lui caresse le sexe qu’elle a trempé.
Chrystèle gémit. La Néerlandaise l’a maintenant positionné sur les seins et continue à la stimuler tout en lui faisant sucer son mari. Qui prend une belle ...