1. La Voie d'Isabelle : Ch. 03


    Datte: 03/12/2024, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byVerdu, Source: Literotica

    Premier Rendez-vous
    
    Quelques jours plus tard, après qu'Isabelle eut passé avec succès les différentes épreuves que je lui ai imposées, je décide de passer à l'étape suivante de mon contrôle.
    
    Ainsi à la fin d'une de nos rencontres quotidiennes, je lui dis :
    
    — Samedi, je veux que tu viennes chez moi à quinze heures ! Prévois de rester jusqu'à dix-neuf heures !
    
    Elle est étonnée et hésitante. Mais au bout de quelques secondes elle donne son accord.
    
    — Pour que ton mari ne se doute de rien, tu n'auras qu'à lui dire que tu vas faire du shopping avec une amie ! Ou, toute autre excuse qui te semblerait appropriée !
    
    ***
    
    Le samedi à quinze heures, Isabelle sonne au portail. Je l'ouvre à distance et le referme quand sa voiture est entrée. Avec les hautes haies denses et le portail en bois massif, personne ne peut voir qu'il y a un autre véhicule que le mien dans l'allée gravillonnée qui mène à ma maison.
    
    Une vieille maison de pierre sur deux niveaux, elle est assez grande pour qu'une famille avec cinq enfants puisse y vivre, mais je l'occupe seul depuis quelques années.
    
    J'accueille Isabelle, à la porte de la maison, en pantalon de toile et polo beige. Elle est radieuse, vêtue d'une jupe droite noire bien plus courte que celle qu'elle porte au quotidien, d'un chemisier blanc dont la transparence laisse voir un soutien-gorge de dentelle noire, à armature sûrement, vu la manière dont sa généreuse poitrine est projetée en avant dans le décolleté.
    
    Je remarque ...
    ... aussi ses talons un peu plus hauts que d'habitude. Elle s'est apprêtée pour me plaire et j'apprécie ce geste.
    
    Du fait de la hauteur de ses talons, nos yeux sont à la même hauteur. Son regard plonge dans mes yeux vert-gris. Elle se rapproche de moi, je sens son ventre contre le mien, depuis que j'ai arrêté le sport, j'ai pris un peu d'embonpoint, mais je suis encore loin du stade de certains hommes de mon âge dont le ventre ressemble à celui d'une femme enceinte.
    
    — Entre !
    
    Je la guide au salon ou j'ai préparé une bouteille de Ruinart dans un seau à glace et deux coupes. Je la vois qui regarde autour d'elle. Serait-elle inquiète, troublée, émue, excitée?
    
    La décoration intérieure est simple, les meubles ne sont pas tous assortis et j'imagine que cela doit la changer de sa maison. Je me souviens des descriptions qu'elle m'avait faites de la sienne.
    
    Alors qu'elle se prépare à s'asseoir, j'émets un petit raclement de gorge. Elle sursaute.
    
    — N'as-tu pas oublié quelque chose?
    
    Elle baisse les yeux et comme à la brasserie, elle remonte sa jupe. Elle a, là aussi, sorti le grand jeu. Elle me dévoile des bas, retenus par un porte jarretelle et un string de dentelle noire. Sans que je ne lui demande rien, elle se tourne et me montre ses fesses.
    
    — Très bien ! lui dis-je. Tu es parfaite comme cela. Tu vas garder ta jupe retroussée ainsi, en t'asseyant.
    
    Isabelle s'assied sur le canapé en cuir. A son frémissement, je pense qu'elle n'a pas l'habitude de poser ses fesses ...
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