La Cave 01
Datte: 30/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... avons tout notre temps »
Elle me saisit par les cheveux et guida ma tête. Je sentais mon sexe raide osciller entre mes jambes à chaque mouvement
Ce fut presque dans un murmure qu'elle dicta
« Entre ta langue »
Je pointais la langue sur son vagin et pénétrait le plus loin que je pouvais, écrasant mes joues contre ses cuisses et récoltant encore davantage de mouille visqueuse.
Durant un moment, j'alternais le léchage de ses lèvres avec la pénétration de son vagin.
Cela dura longtemps, je commençais à avoir mal aux genoux, à la langue, et je sentais mon sexe mouiller mon ventre. J'étais à nouveau au bord de l'orgasme et le moindre contact m'aurait fait exploser.
Ma femme mouillait beaucoup. Je m'en étais aperçu parfois en faisant l'amour mais, maintenant que je la suçais, je m'en rendais pleinement compte et j'avais le visage barbouillé de cyprine.
Elle me dirigea brutalement plus haut, vers le bout raide de son clitoris et eut un léger sursaut quand j'y posais la langue.
Je savais ce qui me restait à faire et s désormais cet organe hypersensible, eussé-je voulu le contraire que, de toute façon, sa poigne dans mes cheveux me maintenait fermement en place.
Tandis que je m'activais sur son bouton d'amour, elle commença à onduler légèrement des hanches et à pousser des petits gémissements étouffés.
Je voyais indistinctement son autre main malaxer son sein et savais, pour la connaître, qu'elle avait fermé les yeux en approchant de ...
... l'orgasme.
Depuis que nous étions mariés, je ne l'avais jamais fait jouir avec ma langue. Il est vrai que je ne l'avais jamais sucé si longtemps. D'ordinaire, c'était juste des préliminaires et, mon excitation prenant le pas, je me relevais et la prenais.
Aujourd'hui, mon excitation était omniprésente, mais je continuais mon labeur.
Tout à coup, elle devint comme folle et, m'écrasant contre elle, me frotta de haut en bas sur sa vulve dégoulinante. Écrasé contre sa chatte, j'étais incapable continuer à la lécher, et je respirais difficilement, les narines bouchées par la mouille et la bouche grande ouverte cherchant l'air.
Elle se frotta ainsi sur l'arrête de mon nez avant de pousser un cri de bête blessée et de cesser tout mouvement, me maintenant serré contre elle.
Elle s'était raidi durant l'orgasme. Quand elle se détendit, elle me relâcha et je tombais en arrière, cherchant à reprendre mon souffle.
J'avais le visage trempé, les narines bouchées, e palais enduit d'un mucus épais.
J'avais également mal dans le sexe tellement je bandais. J'aurais pu me toucher et cela aurait certainement suffit pour me faire jouir, mais je ne le fis pas, retenu par un curieux sentiment.
J'éprouvais une sorte de fierté d'avoir fait jouir ma femme. Je la regardais, alangui sur son fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, reprenant doucement ses esprits. Je crois que je ne l'avais jamais trouvé aussi belle.
Elle ouvrit les yeux, se rassit plus convenablement t me regarda. Elle avait ...