Monsieur X, ma femme et moi.
Datte: 30/11/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
voiture,
hsoumis,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
portrait,
extraconj,
cocu,
Auteur: Xuodid, Source: Revebebe
... croisés, mâchoires serrées avec un regard foudroyant. Sans un mot, cette dernière fit demi-tour et s’en alla en claquant la porte. L’heure n’était plus à la bagatelle. Madame X avait eu quelques doutes et les avait soigneusement pistés. Elle avait rongé son frein pour intervenir, ménageant son effet, précisément juste avant qu’ils ne jouissent. Monsieur X ne savait plus que dire, montrant ainsi qu’il tenait encore à sa femme, et celle-ci avait très mal pris de se savoir trompée. Pas question désormais de le revoir de quelque temps.
Ma femme en est un peu triste. Elle n’avait jamais demandé à Monsieur X s’il était marié.
La vie reprend son cours. Avec mon associé, nous vendons un appartement que nous venons de finir. Nous avons quelques visites dont une belle femme, très class qui demande beaucoup de renseignements, tout particulièrement à moi en ignorant quasiment mon associé. Je ne m’emballe pas, le coup du charme est un classique pour obtenir une vente au meilleur prix. Et du charme, elle en a. Elle a une maturité épanouie. Une poitrine opulente bien en place, un fessier admirable, des cheveux courts dévoilant un cou à la peau, sans doute possible, douce et sensible. Sans parler de son sourire et son regard ravageur. Au bout de dix jours de visites quasi quotidiennes, de coups de téléphone à tergiverser, elle finit par insister pour que je vienne chez elle pour me montrer ses plans. J’en parle à ma femme :
— Profite, si tu peux. Tu me raconteras.
Je sens en ...
... elle une pointe de tristesse. Monsieur X lui manque. J’accepte donc le rendez-vous. À dix-huit heures, a précisé mon hôtesse. J’arrive donc à dix-huit heures devant un portail automatique à l’adresse indiquée. Un coup de téléphone et elle m’ouvre. Je me gare devant une maison du 19e avec petit parc et dépendances. Ma cliente m’accueille sur le perron. Tenue décontractée, jean et confortable pull en mohair mélangé avec une large encolure glissant sur une épaule nue, ou bien sur l’autre. D’un geste de pudeur, elle le remet en place à chaque mouvement, mais laisse toutefois le temps de constater qu’elle ne porte rien d’autre dessous. Nous allons dans le salon à l’arrière de la demeure. Elle m’installe sur le sofa, me propose un cognac et s’assied dans un fauteuil. La conversation coule gentiment sur la décoration du lieu, puis elle se lève, s’assoit sans plus de façons à côté de moi, me prend la main et la porte sur son cœur, enfin, en l’occurrence sur ses seins. Alors nos lèvres se rencontrent, nos mains s’égarent. Après de délicieux préliminaires, elle se déshabille et j’en fais de même. Elle s’assoit sur moi à califourchon et s’empale sur mon désir ardent, sa poitrine rebondissant sous mes yeux à portée de succions. Passent ainsi de savoureuses minutes lorsque, inquiet, j’entends une voiture arriver :
— Ne vous en faites pas, dit-elle, je loue une dépendance à une étudiante, c’est elle, nous sommes tranquilles.
Elle se dégage rapidement pour s’accroupir maintenant sur ...