Margaux Ch. 01-02
Datte: 27/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... assez banal voire normal. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde et certainement pas le cas de Margaux!
Elle semble aussi fascinée par mes tétons traversés par des cadenas très épais qui les ont développés et qui rendent évidente ma condition d'esclave. Ils sont plus gros que ceux de ma femme ce qui la fait rire. Sans avoir besoin de lire mes tatouages et ma marque au fer rouge ils marquent profondément ma condition. Margaux ne cesse d'exprimer comme elle n'en revient pas, surtout après l'impression effectivement de macho que je lui avais faite, m'étant même permis de lui faire une réflexion. Elle s'accroche à Charlotte et je sens qu'elle commence à assimiler ce qu'elle voit. Mais pour une pure lesbienne cela ne peut générer qu'un profond rejet.
Ma femme lui reprend qu'elle voit bien que bien qu'esclave, je suis toujours macho et dominant au fond de moi, dès qu'elle est affaiblie comme par l'opération, mon fond de merde ressort. Son amante semble un peu perplexe entre d'une part ma situation qui semble extrême et ce que lui dit ma Maîtresse de son insatisfaction. Bien entendu je me sens gêné que ma femme ne soit pas comblée et j'aimerais bien que cette part en moi ne soit pas là, mais c'est plus fort que moi. Et j'ai beaucoup de mal à accepter les faiblesses de ma femme, j'ai tant besoin de ressentir sa toute puissance et son pouvoir à chaque instant. C'est ce qui donne du sens à mon abandon total. J'ai aussi profondément un besoin d'expier, expier cette condition ...
... de male que je déteste. Mais je comprends bien que c'est mon besoin et pas celui de Charlotte, nous en avons souvent débattu.
La situation est, il est vrai, étonnante puisque d'un côté Margaux est la première vraie expérience homosexuelle de ma femme, son premier coup de foudre féminin, mais que d'un autre côté c'est tout un monde nouveau que Margaux découvre. Je ne saurais pas trop interpréter ce qu'elle ressent, sinon un dégoût certain pour moi, ridicule, mis à genoux par ma Maîtresse. En fait cela doit l'exciter puisque toutes les deux repartent dans des caresses torrides, ma Maîtresse m'intimant l'ordre de baisser les yeux, et ne prend plus garde à ma présence. Les bruits, les mots doux sont évocateurs, et je sens que ma femme est partie et qu'elle ne joue pas pour me faire souffrir. Elle s'éclate comme jamais. Je suis heureux pour elle malgré la boule dans le ventre. Cela nourrit bien mon masochisme cérébral.
La nuit est tombée, je leur prépare un apéritif. Je suis épuisé par mes contraintes. Mais personne ne s'en soucie. Je n'ose demander d'aller me soulager. Les femmes se caressent doucement, et parlent longuement, se découvrant mutuellement, se passionnant l'une pour l'autre. C'est un moment magique. Sans même un regard ni un mot pour moi, ma femme entraîne son amie à l'étage dans notre chambre, me laissant sans aucune instruction ni savoir quoi faire. Je range tout, je mange et bois un peu. Puisque je n'ai pas d'instruction et qu'il est tard, je décide de me ...