Infidélité à Cuba sous mes yeux
Datte: 26/11/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
vacances,
hsoumis,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
init,
candaul,
Auteur: Larvapatte, Source: Revebebe
J’ai vingt-neuf ans et mon épouse, Lana, vingt-sept. Ma femme Lana et moi avons un charmant petit garçon de deux ans.
Avant de faire un petit second, nous avions réussi à programmer dix jours de vacances à Cuba en le confiant à mes beaux-parents.
Comme on dit, nous sommes plutôt bien de nos personnes.
Il faut aller à Cuba pour comprendre son ambiance. Dès l’arrivée à La Havane, on réalise que ce peuple qui n’a pas grand-chose trouve de vrais moments de bonheur entre la musique et les douces soirées de ce pays.
Les jolies jeunes femmes ne se cachent, pas loin de là, et les regarder est un vrai plaisir. On devine aussi que les touristes, ou du moins leur femme, éprouvent le besoin de se mettre au diapason, peut-être pour ne pas trop laisser ces jolies Cubaines occuper l’esprit de leur compagnon.
Dès la première soirée, nous avions acheté sur place une robe légère, à la fois plus courte et plus décolletée que ce que ma femme avait l’habitude de porter.
Pour notre seconde soirée à La Havane, Lana accepta de porter la petite robe, ce qui me ravit.
La nuit tombait, nous marchions bras dessus, bras dessous, et il devenait évident que nous (surtout elle) étions regardés discrètement par les hommes mûrs, et de façon plus pesante par les plus jeunes.
Pour mieux observer leurs regards, nous avions mis des lunettes de soleil malgré la pénombre, puis une idée me vint, je lui glissai à l’oreille :
— Prends ton smartphone et marche un peu seule devant, je ...
... reste dix mètres derrière.
Faussement ingénue, elle protesta sans conviction.
— Pourquoi ?
Mais elle s’exécuta. Hésitante, elle se mit alors à déambuler apparemment seule dans la rue. Excité, je lui décrivis au smartphone les hommes qui la mataient, et ils étaient plutôt nombreux. Cela la fit rire, et tout en marchant, elle se caressa lascivement les cheveux, dégageant un peu plus son petit décolleté. Au bout d’un moment, je lui demandai si son exhibition lui plaisait. Sa réponse :
Ce petit jeu ne dura pas plus d’un quart d’heure. Elle se retourna en m’attendant. Sous sa robe et son fin soutien-gorge, on pouvait deviner ses tétons durcis. Nous n’en pûmes plus, oubliant le dîner, nous allâmes directement à l’hôtel pour une soirée d’amour inoubliable.
Les deux jours suivants se passèrent à Trinidad. Un petit paradis pour ceux qui la visitent. Il n’y avait qu’à se promener entre les pittoresques ruelles d’époque et, de plus, notre Casa Familia était superbe.
Le second soir, nous connaissions un peu la ville et nous nous installâmes sur de grands escaliers où des groupes musicaux se produisaient. Nous commandâmes un second mojito, ce qui ne manqua pas d’altérer notre lucidité. Peu importe, nous étions à pied.
Le groupe le plus proche de nous était constitué de bons musiciens et de deux danseurs. La danseuse, plutôt jeune, captait tous les regards, une vraie liane lascive, musclée comme il faut. Lui était plus âgé, mais ne manquait pas d’allure non plus. Ils ...