Saba
Datte: 26/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
Saba Depuis 20 minutes, Saba était à quatre pattes, collier au cou, laisse attachée à la poignée de… A la poignée de quoi au fait ? Un épais masque semblant en cuir, lui masquait la vue.
En pensée, elle se voyait, fesses en l’air, genoux écartés, sexe glabre offert, reins cambrés tandis que sa lourde poitrine semblait aimantée par la moquette. Une chienne. Une chienne à qui le martinet posé sur ses reins, rappelais qu’elle ne devait pas changer de posture. Son maître en avait décidé ainsi.
Deux heures auparavant, il l’avait fait installer, couchée à l’arrière du véhicule, nue comme un bébé à la naissance. C’était la surprise, il était juste prévu qu’ils aillent au cinéma, et puis, tout à coup l’ordre, bref, sec : - « Saba, à poil ! » Surprise, elle tressaillit, mais se tut. Déjà, la voiture, stoppait au bord de la route.
- « Allez à poil vite ! J’ai une surprise pour toi », s’exclama Eric, avec un demi-sourire ».
Saba s’exécuta rapidement. L’impatience, l’excitation, la rendait fébrile.
- « Tu t’installeras à l’arrière, et tu prendras ton collier et to masque dans le sac » - « Dois-je les mettre, maître », demanda-t-elle ?
- « Ne joue pas les chiennes idiotes, ça ne te va pas ma puce », lui lança-t-il, en brandissant un martinet sorti d’on ne sait où.
Plus d’une heure de route allongée, à même le sol, sans même un stick, c’ était dur, surtout dans les virages. Heureusement, une fois arrivée, devant un hangar pourri, elle avait eu droit à une ...
... pause, assise sur le siège du passager avant.
Le bonheur, un gros stick, et la main de son maître qui l’avait fouillée longuement, la laissant pantelante de jouissance, trempée comme une vraie chienne en chaleur.
Dans la nuit, humide, son maître, l’avait sortie du véhicule. A quatre pattes, yeux bandés, elle avait été traînée par son maître, jusqu’à un local au sol moquetté. Peut être un bureau.
Puis elle avait été abandonnée par son maître, sans mot dire, offerte. Son cœur, s’était serré quand elle avait entendu son maître s’éloigner.
Une porte claqua, la sortant de sa torpeur. Les pas de plusieurs personnes résonnèrent dans le bâtiment. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ?
Soudain, elle reconnut une voix, celle de son maître : - « La chienne est là. Avec des capotes, faites-en ce que vous voulez.
- Putain, les nichons, glissa une voix - C’est la Reine des Chiennes ! Alors baisez-là bien, elle le mérite ! Repris la voix de son maître. » Déjà une main s’emparait d’un de ses seins - « Tu parles, avec de gros nibards comme ça !! Et ces tétons, regardez ! Ils bandent ! , Lança une voix chaude et grave.» Elle sentit qu’on la détachait du radiateur. Un coup sec sur la laisse, la redressa, à genoux. Instinctivement, elle ouvrit la bouche et tira la langue.
Déjà, Saba entendait le zip des fermetures éclair se baissant. Combien étaient-ils ? Trois, cinq, dix ? Noirs, jaunes, arabes, blonds ? Des petites ou des grosses queues ? Oui, oui ! Elle en voulait des ...