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Bords de mer en octobre
Datte: 24/11/2024, Catégories: f, h, fplusag, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation jeu, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... d’un instant, mon excitation stagne, contrariée par cette soudaine pluie indésirable. Mon regard se heurte à celui de mon voisin. Il n’a pas dû me quitter des yeux. Ma main abandonne ma grotte explorée. Une nouvelle chape de honte me chauffe les joues quand mes doigts caressent mon anus. Un œillet qu’ils effleurent. Bouche grande ouverte, j’essaie de ne pas m’étouffer de honte en pesant sur mon petit orifice. — Aah… Quand mes deux doigts percent doucement ma petite pastille, je laisse filer une légère plainte. Une plainte que j’arrive à seulement susurrer, alors que j’aimerais la crier. Pour que mon Surfeur sache que j’aime prendre mon cul devant lui. Mes doigts bougent doucement dans mon petit trou, sans vraiment m’apporter de plaisir. C’est que mon voyeur me voit œuvrer, qui m’affole autant. Ma main gauche vole alors à la rescousse et mes doigts libres s’enfoncent dans ma chatte. — Oh oui… Oh… C’est bon… Mes murmures m’excitent et je gicle à nouveau. Un petit jet aspergeant ma main glissée sous mes fesses, occupée à prendre mon cul pour plaire à mon voyeur. Un petit moment. Un court instant passé ailleurs que sur cette grève. Comme une absence. Et je me retrouve affalée et pantelante. Certainement l’image même de la salope en pleine débauche pour cet homme qui se masturbe face à moi. Cette pensée devrait m’écœurer ou au moins m’agacer. Mais non. Je n’éprouve même plus de honte. Aucune gêne de m’exhiber si totalement devant cet inconnu. Je suis perdue. ...
... Irrémédiablement et sans retour possible. Un long moment j’observe mon Surfeur se branler doucement. Son sexe me paraît gros, sans pourtant que je ne sois sûre de rien. Grosse ou pas, cette belle queue est dure. Mon Surfeur bande pour moi. Je n’éprouve plus que de l’excitation et même un étrange sentiment de bien-être. Nos regards ne s’évitent plus. J’ose affronter le sien et il affronte le mien. Encore aujourd’hui, je reste incapable de comprendre comment j’ai pu trouver le courage de me perdre à ce point. Courage n’étant par ailleurs pas vraiment le mot adéquat. Le courage personnifie un acte héroïque, ou pour le moins plus noble qu’une exhibition. L’audace convient bien mieux. Une audace perverse qui m’a littéralement bousculée, sans que je ne tente rien. J’ai cédé à une envie terrible. Un désir brut et sauvage. Une idée affolante. Une image incongrue autant qu’excitante. Je ne peux pas faire ça. Pourtant, alors que je reste à observer mon voyeur, ma main est déjà partie. Quelques tâtonnements sur mon drap de bain noir et mes doigts trouvent ce qu’ils cherchent. Je ne vais pas le faire. Je n’y crois pas… Cuisses ouvertes à l’équerre, je suffoque presque quand l’acier froid glisse sur ma fente nappée de jus translucide. La main crispée sur l’étui à lunettes rouge vif, je ne peux qu’haleter en cherchant mon souffle. Il est gros. Peut-être seize ou dix-sept centimètres, mais il est trop gros. Le bout arrondi pousse sur la cicatrice ouverte de mon ventre et la pénètre un ...