1. Telle est prise qui croyait prendre


    Datte: 22/11/2024, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail grosseins, groscul, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... une fois, c’est lui qui était tendu alors qu’elle semblait très relax. Comme si elle était heureuse par avance du bon coup qu’elle allait jouer. Il lui offrit à boire et elle demanda un alcool fort histoire de se désinhiber un maximum. Lui se contenta d’un soda, car l’alcool risquait de le faire débander prématurément. Ils échangèrent dans son salon et assis face à elle, il aperçut son slip. Elle l’interrogea sur sa vie privée. Avait-il une petite amie ? Il lui assura que non, ce qui la rassura. Elle lui avoua qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs semaines, « et encore, c’était moche ». Il lui demanda si elle avait vraiment du désir, condition importante pour la réalisation de sasextape :
    
    — Je n’ai pas envie de mon collègue Stan, que je considère comme un macho, mais j’ai envie de sa queue.
    
    Réponse qui stupéfia l’intéressé. D’autant qu’elle ajouta :
    
    — Et si tu me la montrais ?
    
    Mis devant le fait accompli, le « macho » baissa son pantalon et libéra un pénis plantureux qui avait déjà réjoui bien des femmes. Agnès plissa les yeux et s’humecta les lèvres :
    
    — Je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux. Tu me montres ton installation ?
    
    Il lui fit découvrir la chambre et lago pro posée sur son trépied, dans le prolongement du lit. Il lui assura qu’il pouvait la déplacer et même la sortir de son socle au besoin. Et elle lui dit :
    
    — Je veux qu’il voie vraiment tout. Mon visage, mon cul, ma chatte et ta bite. Qu’il en prenne plein les yeux !
    
    À ...
    ... moitié déculotté, Stan se sentit raidir. Elle avait vraiment envie de se faire sauter, Agnès, quoi qu’elle en dise. Il ne fut pas surpris de la voir prendre sa robe par le bas et de la faire passer par-dessus sa tête, dévoilant un soutif pigeonnant d’où ses seins lourds débordaient largement, et d’un mini-slip qui se perdait dans la raie de ses fesses potelées. Elle s’en débarrassa dans la foulée et s’allongea à poil sur le lit, exposant sans complexe un pubis brun et fourni.
    
    — Quand est-ce que tu commences à filmer ?
    — Tout de suite.
    
    Hors champ, il se débarrassa à son tour de ses vêtements et apparut sur le lit, la bite déjà bien érigée. Agnès regarda la caméra d’un air mutin et, tout en gardant un œil sur l’objectif, saisit le membre viril de deux doigts et le porta à sa bouche, assortissant sa succion de « mmmhh » gourmands et même d’un léger massage de couilles de l’homme à genoux. Stan avait prévu un angle suffisamment grand pour que rien ne puisse échapper au voyeur obligé. L’épouse délaissée, après avoir bien pompé son étalon et produit une spectaculaire érection, s’adressa alors à la caméra :
    
    — Regarde comme il bande pour moi. Il va me baiser et j’en ai très envie. Il a une vraie bite, lui. Et tu as vu son corps ? Jamais je n’ai baisé avec un aussi beau mec. Il va tout me faire, tout. Allez, Stan, baise-moi, montre ce que c’est qu’un vrai mec qui fait jouir une femme. Montre-lui ton cul et remue-le bien.
    
    Ainsi dirigé, Stan se glissa, dûment capoté, entre les ...