1. Le Marin en Perdition 09


    Datte: 21/11/2024, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byGKCD, Source: Literotica

    ... coussin, le marchand a ouvert un peu la fenêtre et on entend Marie gémir de plaisir.
    
    Le vieux me demande si ça me plaît. Je ne peux que lui dire un oui, tellement je suis pris par la vision de ma femme qui se fait encore baisée. Je sens le marchand se coller à moi, il passe sa main sur ma braguette, il me dit : - Baisse ton short et ton caleçon, missiez.
    
    Je le fais, alors il me caresse les fesses d'une main et de l'autre prend ma bite en disant : - Mon fils en a une plus grosse pour ta madame.
    
    Avec sa main caleuse sur ma bite, de son autre main, il me doigte le cul. Alors, je tends ma croupe. Je dévoile complètement ma raie. Je sens l'air frais de la pièce caresser mon anus.
    
    Dans l'autre pièce le jeune a fait mettre à Marie à quatre pattes, il la prend en levrette, je vois sa longue queue enfiler ma femme qui gémit de bonheur. De mon côté le vieux me fouille le cul de deux doigts. A ses mouvements de mains et au bruit de sa bouche, je comprends qu'il enduit son sexe de salive. Son gland vient contre mon anus. Je tremble, l'excitation me noue le ventre.
    
    J'ouvre grand mes yeux quand mon anus s'ouvre sous la poussée du gland du vieux. Sa queue très dure force le passage bien lubrifié par la salive. Mon anus s'ouvre lentement pour recevoir le gland. Surtout ne pas crier pour ne pas dévoiler notre présence. La queue du vieux commerçant s'enfonce centimètre par centimètre. Ce salaud va très lentement, il prend son temps. Lui aussi regarde le spectacle au-dessus de ...
    ... mon épaule et il pousse au rythme des coups de rein que son fils est en train de donner à Marie.
    
    Le vieux pousse sans relâche et son gland rentre de plus en plus profond. Mon cul a appris à s'ouvrir, il est maintenant bien souple. Malgré cela, je crois qu'il n'allait jamais finir d'entrer dans mes entrailles que je sens s'ouvrir sous la pression du gland circoncis. Il pousse une dernière fois, je sens enfin les poils de son pubis contre mes fesses. Je plaque mes mains contre le mur et mes fesses se sont refermées sur le mandrin du vieux arabe bien vrillé au fonds de mon cul tendu.
    
    Marie a du mal à tenir la pose et ses petits râles envahissent la pièce silencieuse. La queue de l'arabe s'active dans la chatte béante. Je sais que quand elle est excitée, ma Marie mouille beaucoup. La grosse bite ne doit avoir aucun mal à coulisser de plus en plus vite dans le fourreau de chair. Elle se laisse niquer comme ils disent.
    
    Ils sont en train de nous niquer tous les deux. Une queue dans la chatte de Marie et l'autre dans mon fion. Ils disent que les français, ils aiment bien les grosses bites des arabes.
    
    La bite du vieux commence à coulisser dans mon intimité. Je me laisse sodomiser en regardant ma femme se faire baiser. Je sens que mon anus se moule à la taille du sexe qui s'enfonce de plus en plus vite et je sais que Marie doit dégouliner sous les coups de boutoirs du fils.
    
    La queue dans mon fion devient de plus en plus active. Les coups de reins de plus en plus violents. ...