1. Soumise Ou Non 05 (Des Risques)


    Datte: 20/11/2024, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byToutfaitpourelle, Source: Literotica

    ... douche. Puis ce sont des soupirs caractéristiques et, là, malgré le risque d'être surpris, Hugo sort son sexe et se branle en les écoutant. Cela dure longtemps, jusqu'à ce que les petits cris de sa femme annoncent un orgasme prochain. Au moment où Inès crie de plaisir, Hugo ne peut retenir sa jouissance, maculant la porte de leur chambre de traînées blanches.
    
    Hugo s'éloigne, pour laisser le champ libre à l'homme qui vient de baiser sa femme.
    
    Les heures passent et, la porte restant close, Hugo pose de nouveau son oreille sur la porte. Il entend un léger ronflement. Les deux amants se sont endormis ! Obligé d'attendre ainsi leur réveil pour rejoindre sa chambre, Hugo se sent vraiment cocu à cet instant. Lui qui aime tant guider, dominer, est là à subir.
    
    Aux premières lueurs de l'aube, l'homme sort de leur chambre et Hugo s'y précipite dès qu'il s'est éloigné. Inès dort encore profondément, aussi se couche-t-il à côté d'elle précautionneusement. Il est toutefois surpris de se coucher dans un lit trempé.
    
    Quelques heures plus tard, c'est un baiser de sa femme qui le réveille. Il ne peut que la complimenter :
    
    « Tu étais magnifique, hier soir. Je ne t'avais jamais vue danser de façon aussi sensuelle. »
    
    « C'est que j'avais un peu trop bu », explique-t-elle.
    
    « Dans ce cas, je te ferai boire plus souvent, mais raconte-moi ta nuit. Je t'ai espionnée derrière la porte, mais je n'ai pas pu profiter de tout, alors raconte-moi », dit Hugo.
    
    « Tu mériterais que je ...
    ... ne te dise rien, gros cochon d'espion », réplique-t-elle, mais elle poursuit cependant :
    
    « J'ai voulu prendre une douche, car j'avais eu trop chaud pendant cette soirée. Il s'est alors mis nu pour me rejoindre. Il m'a caressée longuement, alors que l'eau ruisselait sur nous. C'était bizarre : j'avais l'impression d'une intrusion dans mon intimité. Mais c'était aussi ça qui m'excitait. Il m'a sucé les seins, puis la chatte. Je me sentais brûlante et ce n'était pas seulement l'effet de l'eau chaude. Il nous a fait sortir de la douche, nous entraînant vers le lit, sans même nous laisser le temps de nous essuyer. A cet instant, j'ai pensé à toi qui allait devoir bientôt te coucher dans ce lit trempé. Ce serait comme te montrer que je t'avais fait cocu et que tu ne pouvais rien y faire. Ça m'a encore plus excitée. M'en veux-tu, mon chéri? »
    
    « Non », lui répond Hugo, « allez, raconte ! »
    
    « Il m'a embrassée très tendrement et m'a sucé doucement les seins. Puis il a pris ma main et l'a guidée vers sa pine. Je l'ai regardée et touchée. Elle était très fine mais d'une surprenante longueur. En branlant, je l'ai sentie durcir incroyablement. J'avais l'impression d'une tige de fer dans ma main. Il s'est couché sur moi et m'a écarté les jambes. Alors il m'a pénétrée doucement. Je sentais à peine sa pine toute fine pendant sa lente progression en moi, mais son gland a fini par toucher le fond de mon vagin et y presser comme pour me perforer. En même temps, il m'embrassait avec une ...
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