Joyeux anniversaire - Histoires de Sexe

Joyeux anniversaire

... le cou, me caressa les cuisses, monta jusqu’en haut et essaya de me titiller le clito, mais je me dégageai.

— C’est ton anniversaire et j’ai déjà joui aujourd’hui !
— Moi aussi ! me dit-il.

Mais je ne laissai pas me toucher, je m’assurai qu’il bandait de nouveau et je lui dis :

— Viens au lit, je dois manger mon dessert.

Je repassai par la cuisine, pris un yaourt à la framboise et lui dis de se déshabiller entièrement.

— À poil, mon amour !

Le chauffage dans la chambre était suffisamment haut, j’enlevai ma robe.

Jérémie s’assit sur le lit et me regarda. Je me promenai dans la chambre, le yaourt à la main, et m’arrangeai pour lui montrer toutes mes facettes. Quand je passais à proximité de ses mains, il me touchait les seins, les fesses, le sexe. Je lui fis manger une cuillérée de yaourt, j’en mangeai une et lui dis :

— Maintenant, à plat ventre !

Il se tourna et s’allongea(il aime bien que je lui caresse le dos et les fesses… Il aime bien aussi que je lui touche le cul). Je renversai sans le prévenir la moitié du yaourt au creux des reins. Il tressaillit sous la fraîcheur du yaourt. Je léchai, c’était bon, et Jérémie se tortillait.

Je finis le demi-yaourt et me relevai. Je m’apprêtai à quitter la pièce, mais il voulut se tourner. Je lui dis alors :

— Non, ne bouge pas, tu es tout collant, tu vas en mettre partout. J’en ai pour une minute, je reviens. Je reste à poil, tu vois que ça va aller vite, mais ne bouge pas.

Je revins dans la ...

... chambre avec mes achats de l’après-midi. Je lui montrai le vibro, et je lui dis :

— Regarde avec quoi je me suis fait jouir.

Il était très surpris, mais visiblement très content.

— Miam ! dit-il. On va bien s’amuser.
— Peut-être, mais pas ce soir. C’est ton anniversaire, c’est moi qui décide. Tu restes allongé, il me reste un demi-yaourt.

Et je le lui renversai sur les fesses.

Je léchai abondamment. Je sentais Jérémie vibrer sous ma langue. J’avais passé mes doigts entre ses cuisses, et je lui caressais légèrement les couilles. Il gémissait. Je jouai à la mécontente :

— Mince alors, tu en as entre les fesses, il va falloir que tu m’aides. Mets-toi à quatre pattes.

Il était enchanté, et le fit immédiatement. Je léchai, je passai mes doigts, autour de l’anus, puis je le lui léchai, longuement, intensément. Maintenant qu’il était à quatre pattes, je pus lui caresser les couilles et aussi le sexe. J’arrivai à le branler, il était raide, juste assez, mais pas trop. J’ajoutai :

— Ne bouge pas !

Je replongeai dans le sac de mes courses et attrapai le tube de lubrifiant. Je m’en passai une noix sur le majeur et lui massai délicatement l’anus avec mon doigt que j’enfonçai largement(étonnant comme le lubrifiant est efficace). Heureusement, mes ongles étaient courts et je ne craignis donc pas de l’écorcher. J’enlevai le doigt de son cul et attendis un peu. Il soupira :

— C’était agréable, tu m’as fait quoi ?

Je murmurai :

— Ne bouge pas, ce n’est pas fini ...