1. Les malheurs de Clotilde Ch. 22


    Datte: 17/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... richesse et la puissance de cette entreprise, qu'il ne connaissait pas avant d'avoir été contacté par eux. Il y a un coin cuisine, avec deux grand réfrigérateur, un coin détente, avec un grand canapé à l'air très confortable, comme les deux fauteuil qui lui font face. Un écran géant de chez géant sur un des murs, face au canapé. Puis il y a un coin que Erwan ne sait pas vraiment définir, un de ceux que l'on s'attend à trouver dans une bibliothèque où deux capitaines d'industrie discutent affaire, comme dans les films. Deux fauteuil cosy se font face, séparés par une table basse. Une homme dans la cinquantaine se tient assis dans l'un d'eux. À ses côtés, sur la gauche du fauteuil, se tient une magnifique fille aux cheveux châtains, elle aussi au corps de fou mis en valeur par la même tenue que semble porter toute les femmes ici. Si elle n'a pas la beauté de Emma et Clotilde, elle n'en ai vraiment pas loin. Elle aussi est au garde-à-vous, tête baissée, regard sur le sol.
    
    L'homme se lève. Erwan se dit que jamais il n'a vu un homme avec autant de charisme, respirant le pouvoir, l'autorité, la richesse. Son visage lui dit quelque chose, mais il n'arrive pas à mettre un nom dessus. Pour Erwan, Henri Lisier ressemble à quelqu'un de connu quelques années plus tôt, sans savoir qui. Il lui fait un sourire rayonnant :
    
    - Monsieur Duflot, venez.
    
    Erwan s'approche de lui, ils se serrent la main. La poignée de main est franche, énergique.
    
    - Cela vous dérange-t-il si on ...
    ... s'appelle par nos prénoms?
    
    Erwan ne réfléchit même pas.
    
    - C'est une bonne idée, mons... Henri.
    
    - Parfait Erwan. Asseyez vous donc.
    
    Erwan s'assoit, le siège est plus que très confortable. Il regarde la fille qui n'a pas bougé. Henri le remarque :
    
    - Stéphanie, ma fille. Elle est également une de mes assistante personnelle. Disons que c'est la plus présente.
    
    Stoïque, le jeune femme ne bouge pas un cil. Elle dit simplement :
    
    - Bonjour monsieur Duflot, je suis très heureuse de vous rencontrer.
    
    - Moi aussi, Stéphanie.
    
    Emma et Clotilde se sont mise à deux mètres de la table basse. Au garde-à-vous, tête baissée, regard au sol. Une position qui, comme la tenue, semble être celle de toutes les femmes dans cette société. Cela intrigue un peu Erwan.
    
    - Tout d'abord Erwan, voulez-vous quelque chose à boire? Café? Jus de fruit? Soda? Alcool?
    
    - Un café court et noir serra très bien.
    
    - Ce sera pareil pour moi.
    
    Henri Lisier claque des doigts.
    
    - Clotilde.
    
    Aussitôt la belle jeune femme se met en mouvement vers le coin cuisine, tandis que Emma ne bouge pas. Le regard d'Erwan s'attarde sur son déhanché fabuleux. Henri le regarde :
    
    - Une femme sublime, n'est-ce pas?
    
    - Très.
    
    - Nous avons de très belle femme ici, mais Clotilde, et sa fille, Emma, sont dans le top 50.
    
    Erwan comprend leurs ressemblance, elles sont mère et fille, il en est étonné, tant elles paraissent avoir peu d'écart d'âge.
    
    Ils parlent un peu météo, le temps que la belle Clotilde ...
«12...456...9»