Oh mon amie
Datte: 21/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: aragonn1, Source: xHamster
Un lit rond couvert d'un drap de satin rouge tendu dans le léger courant-d'air de deux portes entre-ouvertes, tu es là ; allongée nue te caressant machinalement l'entre- jambe .
Du bout des doigts, je frôle ton épaule, glisse sous ton aisselle, te chatouille ce qui te fait rire, nous jouons, nous nous taquinons, entre câlineries et baisers enflammés… nous nous roulons sur le lit, l’un sur l’autre, nos mains se cherchent, nos corps se redécouvrent, se recouvrent avec passion . Je goutte tes fruits divins et suaves, je les aime, tu sais oh combien je les aime chaque fois que tu me les offres amoureusement et même quand je te les dérobe.
Telle une plume je descend ma menotte le long de ton flanc, surprise tu me pousses un peu et …. Boum à terre je suis. Tu es pliée de rires, tu me tends la main à laquelle je donne un baiser et me dirige à genoux vers le pied du lit.
Je prends ton pied à deux mains, le porte vers mes lèvres le couvre de baisers depuis le gros orteil que j’avais en bouche, jusque ta cheville en le caressant comme un petit chat. Des frissons parcourent ta cuisse, je les suis de la langue jusque tes mollets dont la peau douce frémis. Soulevant ta jambe, j’en mordille le dessous, en la frôlant du dos de la main telle une plume. Ma bouche poursuit son chemin vers le galbe de ta fesse soyeuse. Très sensible à mon geste tu t’ouvres un peu plus, laissant mes doigts te caresser et contourner ton sexe déjà bien en feu pour remonter sur ton pubis. Y poser ma joue, ...
... mon oreille comme pour écouter, détecter peut-être le battement d’un tout petit cœur, d’un petit enfant que nous aurions préconçu lors de nos nuits de furie, d’amour tendre, de volupté, de joie magique ma douce fée des bois, douce princesse à mon cœur. Mais tu as deviné ma recherche, une larme de joie perle de tes yeux, et puis tu souris heureuse…. Belle amie. Je t’aime plus que tout. De baisers en câlins je me glisse vers ton nombril comme s’il m’était inconnu ; Combien d’heures l’ais-je pourtant massé contre le mien en te limant à faire fondre mon outil ! A le tourmenter de mes coups de reins.
Oh ma déesse, laisse-moi l’aimer encore et encore du bout de la langue, l’aspirer comme un autre téton, le contourner du bout des ongles, le chatouiller, l’irriter, le titiller. Le pincer entre le bout de mes pouces, paumes des mains sur ton ventre, que je masse à petites doses jusque la base de tes seins en les écartant pour descendre jusque tes hanches, pour revenir vers le premier parcours , celui qui conduit à ton cœur. Mes lèvres ouvertes s’y appliquent comme des sensues, remontent, vont viennent, redécouvrent ce paysage pourtant très connu où de chaudes larmes blanches ont ruisselé trop souvent. Sensuel décor de nos batailles, de nos amours, de nos passions, de nos fusions, toujours ouvert à d’autres assauts, à vibrer à la cadence du bélier se débattant absorbé dans un de tes antres sacrés. Combien de secrets pourra t’il encore garder ? Comment fait-il pour nous supporter ; ...