Une cousine un peu dfifférente - Histoires de Sexe

Une cousine un peu dfifférente

... notre mission étant remplie, mais aucun de nous n’y songe, au contraire, le regard que nous échangeons est éloquent et la phrase de mon aimée est claire.

— Venez me toucher, j’en peux plus d’excitation !

Je l’embrasse avec amour et ferveur tant je suis bien avec elle, notre accord magique renforce nos liens et décuple nos sensations. Zika déguste son entrejambe avec habileté et Anka et moi baissons le regard pour savourer cette vision. C’est beau, érotique et je sens mon membre reprendre lentement de sa vigueur. Je glisse ensuite ma tête sur ses seins opulents et y joue de la langue, des lèvres et des dents pendant qu’elle gémit doucement, soumise à l’attention de nos bouches.

Je sens le souffle d’Anka contre moi et elle me glisse à l’oreille :

— J’ai trop envie, tu veux bien ?

J’ai parfaitement compris ce qu’elle désire et, comme je l’ai bien eu quelques jours plus tôt avec son autre cousine, je ne peux rien lui refuser. Je m’assieds sur le canapé et elle vient s’asseoir sur mes genoux, dos à moi. Nul besoin de paroles, sa cousine/cousin descend juste plus bas et lui fait une feuille de rose qui la fait bien gémir. Puis j’ai droit à quelques allers-retours baveux sur ma queue pour mieux la lubrifier encore et enfin, Zika me place juste à l’entrée de du petit œillet brun d’Anka. Elle descend lentement sur moi, je sens la résistance puis rapidement cela passe. Elle descend encore, souffle fort, enfin je suis totalement dans son petit ...

... cul.

Un nouveau petit sort discret de lévitation qui nous permet de basculer facilement en arrière et c’est Zika qui vient présenter sa jolie verge devant la chatte de sa cousine. Nul besoin de lubrification tant Anka est trempée, comme en plus la verge est moins imposante, c’est plus facile. Je sens son sexe progresser contre le mien, juste isolé par la fine paroi de chair et cela compresse d’autant ma queue durcie. Anka souffle plus fort et nous demande de ne pas bouger, réglant elle-même la pénétration. Enfin, au bout d’un éon temporel tant je suis « ailleurs », elle commence doucement à bouger sous cette double pénétration nouvelle pour tous les trois.

Je lui ai saisi les seins et les caresse avec douceur pendant que sa cousine l’embrasse de la même façon. Lentement, dans un accord tacite, la douceur devient ferveur, puis c’est la folie des sens qui s’empare de nous. Les deux se lèchent la bouche, le visage et je tire les tétons de l’une et de l’autre avec le même déchaînement. Anka joue la cow-girl sur nos sexes et on monte très vite vers l’explosion tant c’est intense.

Quand elle survient, c’est énorme, un maelstrom de sensations, ma queue prise dans un étau, son miel qui coule sur mes cuisses, les vibrations de leurs plaisirs, ses cris ou plutôt les nôtres…

Et, enfin au bout de longs instants où seul le bruit intense de nos respirations se fait entendre, une petite phrase, une petite question lancée par je ne sais qui :

— Encore ?