Marc
Datte: 12/11/2024,
Catégories:
hplusag,
Collègues / Travail
extraconj,
diffage,
hf,
Auteur: Carla.moore, Source: Revebebe
... nuit ! Combien de temps que je n’ai pas eu un si bon moment avec une femme ? En ai-je déjà eu, même avec mon épouse ? La chambre s’éclaire tout doucement et je découvre son corps. Elle a dû avoir chaud dans la nuit, car elle s’est découverte. Sa nuisette ne cache pas grand-chose de ses deux beaux seins. Elle est remontée et je découvre ses cuisses et le bas de son fessier. Je ne peux m’empêcher de la contempler. Je voudrais la couvrir pour qu’elle ne s’aperçoive pas de son indécence, mais elle est passée au-dessus de la couette. Je me lève discrètement pour me rhabiller et la laisser finir sa nuit.
Son smartphone émet un faible bip, mais ça suffit pour qu’elle ouvre les yeux. Elle voit tout d’abord mon sexe sortir du boxer. Elle s’aperçoit ensuite de la nudité de ses fesses. Elle reste suspendue… le temps aussi. Je dois m’excuser, mais elle me coupe souriante !
— C’est moi qui te fais cet effet ?
Lorsque j’ouvre les yeux, ceux-ci sont à 50 cm du boxer de Marc. C’est la première fois que je vois un gland émerger d’un sous-vêtement. Il a un regard penaud et terrifié. Je me rends compte aussi que j’ai les fesses à l’air. Je ne sais plus où me mettre ! Je l’ai forcé à dormir dans mon lit et maintenant je m’expose alors que je lui ai demandé de rester sage ! Pour casser la gêne, je demande si je suis la cause de son état. Je ne le laisse pas répondre.
— C’est mon téléphone qui m’a réveillée. Mon mari sans doute.
Marc me caresse la joue, arrange mes cheveux.
— Je ...
... me suis réveillé dans cet état, je suis resté pendant presque une heure à ne pas bouger en espérant que la marionnette qui s’agite veuille bien se calmer et cacher sa tête.
Je ris, lui aussi, autant de la gêne de la situation que de l’humour de Marc.
— Femme qui rit à moitié dans ton lit ! ponctue-t-il.
— En l’occurrence, j’y suis totalement, non ?
— C’est vrai !
— Tu as eu des pensées, non ? dis-je, amicale.
— J’avoue… Totalement incontrôlables.
— Moi aussi, mais c’était des désirs plutôt que des pensées.
Le téléphone bipe à nouveau.
— Ah, cette fois, c’est un SMS !
Je prends l’appareil et découvre le SMS.
Son message ne me surprend pas ! Max est toujours aussi lâche ! Il ne me fait même pas la peine que j’aurais crue ! Je me tourne vers Marc :
— C’est mon mari, il me quitte.
Nos visages s’approchent. Comment fait-il pour infiltrer ses yeux dans les miens ? J’ai l’impression qu’il me caresse du regard. Nos nez se touchent presque. Sa main reprend la caresse de mon visage. La seconde masse mon cou puis, chaste, descend sur mon bras, remonte. Mes seins me picotent. Les pointes se tendent sous ma nuisette.
— Embrasse-moi !
— C’est à cause de ton mari ?
— Non !
— Si je le fais, je ne pourrais pas m’arrêter là !
— Alors, embrasse-moi !
Le baiser le plus charnel de toute ma vie se prolonge. Dans un mouvement lent et calme, il se retrouve allongé sur moi. Je sens sa dureté contre mes lèvres intimes, contre mon clitoris.
— Viens en moi ! Je ...