Jacques, Pierre, François et Michel
Datte: 21/07/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Carpe-_-Diem, Source: xHamster
... crachent ces deux mignonnes petites bites roses.
Pendant ce temps, j’ai récupéré et me dirige vers ma cabine. Je peux à peine rentrer que Pierre, comme un fou, me pousse et ferme la porte derrière lui. Il me déshabille en déchirant presque mon string en gueulant :
« Salope, t’es une salope ! Tu m’as vu et tu as baisé et sucé toute la salle sans me jeter un regard ! Putain, je suis sur que tu as joui et que tes couilles sont vides ! Ca fait plus d’une heure que je cours après ton cul ! Même au noir, tu lui as vidé les couilles ! »
En silence, je lui baisse son pantalon et son slip et lui caresse doucement les couilles et les cuisses. Je lui caresse aussi les fesses comme il aime et je lui dis :
« Pierre, c’est toi que je voulais pour finir ; je n’ai pas joui avec les autres ; j’ai gardé tout mon jus pour toi, regarde comme je bande ! J’ai les couilles pleines à craquer et les seins tout gonflés ! J’ai le cul qui brûle ! Je voudrais ta grosse bite dans mon cul pendant que tu me ferais mes seins et pendant que je me branlerais ! Je veux être ta petite femme, ta pute, ta salope ! Encule-moi, je suis toute chaude ! »
Je me relève et me tourne pour frotter mes fesses sur sa bite que je n’avais jamais vu aussi grosse ! Il gueule en me faisant baisser la tête et en me faisant les seins très fort :
« Ahh, tu veux être ma pute ! Tu vas voir, salope, ce que je vais te mettre ! Tiens, je vais te faire les seins comme jamais ! Tu vas cracher du lait ! Ecarte ton cul que ...
... je vois la chatte que je vais fourrer ! Tiens, putain, il y a encore du sperme qui sort ! »
Voyant cela, il me claque les fesses à grands coups de porte-jarretelles tout en frottant son énorme membre entre mes fesses. Je n’y tiens plus, je suis comme fou. Il faut que je jouisse maintenant. Je gueule :
« Vite, viens dans ma chatte ! Je ne tiens plus, encule-moi comme une chienne ! »
Je le sens se reculer et cracher sur sa queue puis, en une poussée colossale, il engloutit son braquemart géant dans mon anus brûlant jusqu’à la garde. Ses grosses couilles viennent buter sur mes fesses à chaque coup de rein. Je n’ai pas besoin de me branler pour jouir ni de serrer mon anus pour le faire cracher. Lui et moi attendions depuis trop longtemps. Nous gueulons en cœur :
« Ahhh, sale chienne, je ne peux pas résister ! Je décharge ! Je jouis ! Ahhh, putain, je te remplis le cul ! »
« Ouiiii, je sens ton foutre brûlant dans mon cul ! Ahhh, ça me faire jouir ! Ahhh, j’en mets partout ! Regarde, mon jus dans mes mains ! Ahhh, va-y encore, pousse ! Bourre-moi bien le cul ! Crache tout ! Dis-moi que je suis une bonne pute ! Je t’ai bien excité avec mon noir ! Il m’a rempli la gueule de foutre ! Et l’autre avant, il m’avait fait un lavement de sperme ! »
« Ahhh, ouiii, tu es la reine des putes, salope ! Je t’ai noyé le cul de foutre ! »
Il se retire doucement, laissant mon anus béant. Avec un bruit de pet très gras, je me vide du quart de litre de foutre que j’avais dans le ...