Chaudes vacances dans le sud de l'Espagne
Datte: 11/11/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
Du comptoir de sa pharmacie, Amandine en voyait passer, des gens mal dans leur corps et mal dans leur peau. Passe encore pour les malades organiques, elle était là pour les soigner, mais les malades de la tête lui faisait encore plus souffrir. Surtout quand ils venaient réclamer leur drogue dûment prescrite par des médecins plus ou moins complaisants. Elle avait envie de leur dire : mais qu'est-ce que vous faites de votre vie sexuelle ? Faire l'amour, baiser, c'est la meilleure des thérapies quand c'est bien fait. Mais une pharmacienne ne peut pas dire ça. Le faire, en revanche...
Amandine n'avait pas été gâchée par ses parents. A 40 ans, c'était toujours la jolie poupée blonde qui avait tant fait fantasmer les hommes depuis qu'elle avait eu l'âge de copuler. Petit format bien proportionné avec une chair ferme, des seins et des fesses rondes, elle avait vite compris que le sexe était la meilleure chose de la vie. Pas mal de mecs lui étaient "passés dessus", pendant ses études, ce qui lui avait valu une mauvaise réputation auprès des filles de son âge et même certains hommes pudibonds, ou simplement meurtris de ne pas lui plaire. Mais elle avait trouvé l'âme soeur auprès de Boris, un étudiant en médecine, beau brun aux yeux bleus, joueur de rugby dans l'équipe de la fac. Ils s'étaient mariés, avaient eu deux enfants, et leur vie de couple était en tout point exemplaire. Boris avait compris que pour garder sa jolie épouse, il devait répondre à sa demande, quel que soit ...
... le jour et quelle que soit l'heure. Et pas seulement le soir ou le matin dans le lit conjugal, comme tout un chacun.
L'envie de baiser saisissait parfois Amandine sans crier gare. Il suffisait qu'un client sexy lui fasse un peu de charme pour que ça fasse tilt dans sa tête et pas seulement sa tête. C'était le cas le plus fréquent, mais parfois, l'envie la prenait subitement sans raison apparente. Alors, elle prenait son téléphone et appelait Boris. Car c'était la bite de son mari qu'elle voulait, et pas une autre. Une bite en or, disait-elle. Rigide, épaisse, puissante, allant loin.
Au coup de fil d'Amandine alors qu'il était à son cabinet en pleine consultation, Boris comprenait. Elle lui chuchotait simplement "j'ai envie". Elle ôtait sa blouse, laissait les clients aux préparateurs sous un prétexte futile, et accourait au cabinet de Boris, pas très éloigné de son officine. Elle prenait place dans la salle d'attente comme une patiente ordinaire et dès que Boris ouvrait sa porte, au lieu de faire entrer la suivante, il s'excusait auprès de la patientèle et faisait entrer Amandine.
C'était alors une union brève, fougueuse, toujours jouissive. Amandine, entièrement nue, elle y tenait, pieds compris, exigeait que Boris soit nu lui-même, considérant qu'il ne faut pas que les peaux soient gênées pour apprécier le contact et s'électriser. Ils négligeaient la table de soins, trop fragile, pour s'accoupler tantôt sur le bureau, tantôt sur une chaise ou carrément par terre, ...