1. Le Contact est il possible entre une jeune femme et un senior ? (Partie 7)


    Datte: 09/11/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CCCandice, Source: Hds

    ... s’est calmé mais un véritable blizzard souffle comme en Sibérie ! Je regarde l’heure : 15h40. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il me demande timidement : « Où vas-t-on ? » Je lui répond : « Pas le temps de retourner en ville. On va trouver un coin quelque part…il n’y a pas d’hôtel dans le coin Monsieur…la voiture vous convient ? » Il me regarde, comme stupéfait ; il a l’air émoussé, rien que d’avoir marché jusqu’au parking l’a fatigué mais il sourit et m’assure : « Ça ira très bien, Belle Candice ! » Je démarre et nous partons sur la route enneigée.
    
    Je roule doucement. Le chauffage désembue mon pare-brise et la route est quasiment déserte vue la météo. Le chauffage souffle à fond mais c’est Bruno qui me réchauffe : j’ai retiré mes bas, et il me caresse la cuisse droite de haut en bas, tout en regardant la route devant lui. Je n’en peux plus : il ne va jamais jusqu’à ma petite chatte rasée, il prend soin de s’arrêter juste avant puis de repartir en arrière jusqu’à mon genoux. Je me mords les lèvres, il m’excite comme une folle ! Mes grands yeux, perdus sur la route, cherchent également un coin en bord de route où l’on pourrait s’arrêter ; je suis bien décidée à ce qu’aujourd’hui, Bruno me prenne. Au moment où je me rends compte qu’il n’y a pas beaucoup de coin calme et isolé au bord de la route, j’aperçois un tout petit renfoncement sur la droite qui semble s’enfoncer dans les bois…je me dis qu’avec ma voiture je ne pourrais pas aller trop loin dans la neige mais je me ...
    ... dis que ça ne coûte rien d’aller voir…je prends la main de Bruno et suce son majeur en entier, doucement, en lui jetant un intense regard. Il murmure : « Candice… » je vois un rond point, le prend pour revenir en arrière et retourner au renfoncement. Je reprends sa main que cette fois, je glisse sous ma jupe, entre mes cuisse, sur mon sexe rasé. Il garde sa main dessus, comme s’il ne savait pas quoi faire et rien que ça, ça me fait du bien ! Je prends le renfoncement et m’engouffre sous des sapins touffus qui font que nous sommes quasiment dans le noir complet. Il n’y a aucune autre voiture, j’avance un peu, la neige au sol est en toute petite quantité vu les sapins ce qui permet de continuer sur un petit chemin. À gauche, pareil, un autre renfoncement qui me permet de garer ma voiture, à l’abri de la route nationale ou des regards indiscrets…
    
    A peine je mets le frein à main, que je bondis sur Bruno, à califourchon sur lui, le prenant au dépourvu le plus total : « Candice… » me chuchote-t-il, avant que je lui attrape le visage et l’embrasse à pleine bouche, rageusement, collant ma langue sur la sienne dans un ballet mouillant de salive. Je n’en pouvais plus ! Je retira mon gilet de laine, exhibant mon opulente poitrine et retire ensuite mon soutif que je balance à l’arrière ; Bruno respire vite, très vite, dans les rares moments de répit que je lui accorde lorsque je retire ma langue sa bouche. Je garde juste ma jupe écossaise et mes bottines, je prends sa tête que je colle ...
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