La stagiaire et la responsable du service équipement
Datte: 09/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Orangina07, Source: Hds
... pièce. Ma bite s'enfonce dans son intimité avec force, ses parois vaginales la compriment.
Lorsque je la baise, un bruit obscène de ma bite qui glisse avec la mouille accompagne nos gémissements. J'accélère la cadence quand je vois le visage de Marion se crisper, qu'elle se cramponne plus fort sur le banc. Je n'ai pas le temps de donner un autre coup de rein qu'elle me repousse violement, poses ses pieds sur le sol et soulève son bassin.
Elle rebondit plusieurs fois sur le banc. Elle inonde le mur en face d'elle à la façon d'une lance à incendie avant de s'immobiliser. La respiration encore rapide et courte témoigne de la violence de son orgasme. Quand elle ouvre les yeux et tourne la tête vers moi, son visage reste de marbre, pas un sourire. Elle se redresse et semble se désintéresser de moi.
- On doit finir de ranger dit-elle en se rhabillant.
La fin de la matinée se passe sans un mot, sans un regard entre nous. Je retourne au bungalow et reprend mon poste.
Lundi de la semaine suivante, après la pause repas, le chef d'équipe me demande d'aller voir Rachel dans son bureau pour qu'elle m'explique les procédures pour les facturations, le classement des dossiers, saisir les inventaires dans l'ordinateur.
Je traverse la cour sous un soleil brûlant. Rien que de marcher je transpire. J'ouvre la porte du bâtiment et reçois un coup de froid en pleine figure. Je monte les escaliers, entre dans le bureau de Rachel. Elle se lève pour venir à ma rencontre.
Sa ...
... chevelure blonde encadre son visage rond. Ses yeux noisettes derrière des lunettes lui donnent un air sérieux qu'elle n'a pas, toujours souriante. Ce que j'aime et admire le plus chez elle c'est son corps, tout en rondeur, en courbes, des formes larges et pleines, des seins en forme de pastèque dans un chemisier couleur sable entre lesquels j'ai envie de plonger la tête, comme entre ses cuisses dans un short en jeans noir.
En voyant la façon dont bouge sa poitrine sous le chemisier, je peux en déduire qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Vérification faite lorsque j'aperçois ses larges auréoles et tétons bruns qui pointent sous le fin tissu de son chemisier. Peut-être à cause de la température de la pièce, il fait aussi froid que dans l'entrée du bâtiment.
Le contact entre nous est franc et direct. Elle se colle à moi pour me faire la bise, me prend par le bras et m'entraîne à son bureau. Je tire un fauteuil sur roulettes et m'assois à côté d'elle.
Elle me montre quelles sont les tâches de son travail. Au fur et à mesures de ses explications je la vois se pencher, frotter ses gros seins sur le bord de son bureau, cambrer les reins. Sa respiration devient plus rapide. Elle termine même son exposé, dont je n'ai rien retenu, avec ses seins posés sur le bureau.
- As-tu écouté ce que j'ai dit ? me dit-elle en prenant ma main.
- Heu....oui... dis-je sans grande certitude.
- Ou alors as-tu passé ton temps à mâter ? ajoute-t-elle en s'adossant à son fauteuil pour ...