Les vacances de Charlotte (4) : Plus on est de fous
Datte: 08/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: PP06, Source: Hds
... mettrais pas, me dit-elle avec un sourire malicieux.
De son côté, Céline hésite. Charlotte lui montre un joli maillot à fleurs, avec des nœuds sur le côté et un soutien-gorge bandeau, avec sa petite poitrine ça devrait lui aller.
Ça lui allait, et même très bien. Je fais celui qui regarde sans regarder, tout en appréciant le modèle. Je ne suis pas le seul. Antoine, un peu étonné, semble ravi du choix de sa femme.
Il se fait tard, enfin pas trop, il est vrai que les espagnols vivent la nuit. Antoine nous propose d’aller au restaurant avant de rentrer. Il nous invite, alors pourquoi lui dire non. Ce sera le premier d’une longue série.
Soirée agréable, le cadre, le menu arrosé d’une bonne bouteille de rosé, sans abuser. Pour être en forme demain, nous voulons tous mieux dormir que la nuit dernière.
Qu’il est bon de rentrer chez soi ! Seuls dans notre chambre, nous nous écroulons sur notre lit. Sans attendre, Charlotte enlève robe et culotte, « il fait tellement chaud » se justifie-t-elle.
En me déshabillant, elle me regarde l’œil coquin :
- Je vais enfin savoir… Alors, c’est qui qui a la plus grosse ?
Elle me prend dans sa bouche pour me prouver qu’elle a raison. D’ailleurs les femmes ont toujours raison, c’est un postulat. Y-a pas à discuter !
Tandis qu’elle s’applique, je repense à la soirée d’hier :
- Dis donc, hier ils étaient sympas, mais ils en ont mis du temps pour partir, et ils ont torché ma bouteille de vodka. Diego et Franck avaient du ...
... mal à suivre ce que l’on disait, Lucas ne pouvait pas tout traduire, ils se sont rattrapés sur ma bouteille.
- Oh ! Ne parle pas tant… Si tu as la langue bien pendue, sers-t‘en autrement.
L’invitation est claire, je me jette sur son entrejambe avec gourmandise pour son plus grand plaisir, et le mien. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous nous retrouvons en 69, nous activant chacun de notre côté. Classique, mais efficace.
Je sentais que je n’allais pas tenir très longtemps à ce régime. Il me fallait bouger si je voulais faire une visite intime à ma belle. Elle le voulait également.
Sans savoir comment nous y sommes arrivés, en quelques secondes nous nous sommes retrouvés l’un contre l’autre, sa poitrine écrasée contre moi. En l’embrassant, je l’ai pénétrée lentement, elle leva ses jambes pour emprisonner mes reins entre ses cuisses. Il ne lui en fallait pas plus, elle a eu un petit orgasme, qui m’a fait jouir. Sentant que je lui remplissais la chatte, elle a joui en se mordant les lèvres, la tête au creux de mon épaule.
De l’autre côté de la cloison, Céline a été moins discrète, son cri a rempli notre chambre. Les cloisons sont minces dans ces locations, l’isolation ne permet pas une grande intimité. En retenant notre respiration, nous discernons la voix grave d’Antoine qui reprend son souffle :
- Putain ! Oh putain que c’est bon.
- Tu vois chaton, ce n’était pas plus difficile lui répondit Céline en minaudant.
En les entendant, nous nous ...