La route était longue
Datte: 08/11/2024,
Catégories:
f,
h,
couple,
inconnu,
parking,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
candaul,
Auteur: Valentyn, Source: Revebebe
... dégoulinant de cyprine. Elle est vraiment excitée et semble motivée à jouir devant ce parfait inconnu. Deux doigts se sont glissés dans son antre de plaisir et font des aller-retour, sa chatte bien ouverte et rose ressort divinement sur le fond de ses poils bruns.
Elle se tend sous l’intensité de ses mouvements qui se font plus forts et plus rapides, tout comme ceux de notre voyeur qui se paluche, la verge collée à la vitre.
Valentine le fixe, ouvre la bouche et tire la langue comme pour gober cette queue qui s’agite devant ses yeux, semblant vouloir accueillir son jus, donnant le coup de grâce à cet homme qui décharge son foutre sur la fenêtre et la culotte dans un râle silencieux mais intense.
Valentine jouit aussi, son corps se cambre, ses yeux se ferment et son souffle se coupe. Elle tremble puis s’affale sur son siège.
De mon côté, l’excitation est supérieure à tout ce que j’ai connu mais je réussis à ne pas gicler.
Valentine reste dans sa position, sexe ouvert aux regards, les poils collés par son jus. Le voyeur remballe son matériel et rejoins son véhicule, il semble plus que satisfait de son aventure matinale et démarre très rapidement. Je peux maintenant sortir de ma cachette et m’approcher de Valentine qui maintenant me sourit. J’ai toujours ma queue à la main mais je fouille ma poche pour trouver mes clefs et déverrouiller la porte.
J’ouvre et Valentine laisse ses cuisses s’ouvrir largement sur son sexe béant que je m’empresse de lécher de toute ...
... ma langue, aspirant ses lèvres et son clito, me délectant de ce jus que j’aime tant boire à même la source. Je réussis à lui procurer un nouvel orgasme.
Je me redresse et lui demande innocemment où est passée sa culotte et ce qui justifie une telle position sur un parking public. Elle me rétorque que je ne devrais pas non plus me balader la queue à la main et qu’elle avait bien vu que je la matais, le soleil découpait mon ombre dans le buisson. Je lui souris et elle aussi. Je m’approche et glisse mon chibre dans sa grotte ouverte et elle m’accueille chaleureusement. Elle jouit rapidement une troisième fois sous mes profonds va-et-vient et je me retire pour éjaculer abondamment sur son sexe et sa toison.
Le spectacle m’ayant plus qu’excité, l’adrénaline n’est pas encore retombée et je m’adonne à une chose que Valentine adore et que je ne peux que rarement lui offrir, même si j’adore ça moi aussi : je m’agenouille et me mets en charge de nettoyer mon jus de son sexe et de son pubis.
Je le fais rarement car, après avoir giclé, l’excitation redescend vite et rend cet acte plus difficile pour moi, même si j’en raffole.
Toute à mon affaire, elle presse ma tête sur son intimité. Je me recule un peu et lui avoue que j’aurai voulu la voir se faire prendre par cette queue inconnue pour pouvoir la nettoyer de son jus. Elle me sourit et répond que le week-end n’est pas terminé.
Je me redresse et l’embrasse à pleine bouche, partageant le goût de nos jus mélangés avec celle ...