1. Médicalement vôtre


    Datte: 08/11/2024, Catégories: fh, médical, Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... j’ai l’esprit large. Vous avez bon goût, Kevin est un brave garçon. J’ai d’ailleurs constaté une certaine amélioration chez lui depuis que vous l’avez pris en main.
    — Ça ne vous dérange pas que…
    
    Il ne répond pas à ma question :
    
    — Que fait-on ? Je remets tout de suite votre stérilet en place ?
    — Euh… oui… vaut mieux…
    — D’accord… J’en profiterai pour injecter un produit pour votre irritation…
    — Merci, Docteur…
    
    Mon interlocuteur prépare la suite de son intervention :
    
    — Pour répondre à votre précédente question, j’ai l’esprit large, je viens de vous le dire. Sa copine, qui n’est pas un cadeau, est au Mexique. Vous, vous avez de la maturité, de l’expérience, sans parler du fait que vos vingt ans d’écart ne se voient pas de trop, car vous avez réussi à conserver un corps jeune et très harmonieux, félicitations !
    — Euh… merci…
    — Je sais que vous vous entretenez, ce qui oblige d’ailleurs votre mari à faire de même, ce qui n’est pas mauvais pour sa santé. Et puis, les hommes sont au top dans la vingtaine, et les femmes beaucoup plus tard. Je suppose que votre mari n’est pas toujours au summum de ses capacités.
    
    Tandis qu’il est en train de s’activer entre mes jambes, je réponds plus ou moins franchement :
    
    — Je n’ai pas à me plaindre…
    — Mais un jeune homme, c’est mieux, non ?
    — Disons que ça rajeunit…
    — Et ça vous amuse de jouer les initiatrices, comme avec Brian…
    
    Me redressant un peu, je m’exclame :
    
    — Mais… mais comment savez-vous ça !?
    — Brian qui ...
    ... est le neveu d’Arnaud, votre amant, disons, officiel…
    
    Assez estomaquée, je ne réponds rien. Il en profite pour tripatouiller en moi pour remettre correctement le stérilet. Tant en s’appliquant, le docteur explique d’un ton enjoué :
    
    — Je ne vais pas vous faire attendre bien longtemps : Arnaud est l’un de mes patients et aussi un ancien camarade de lycée.
    — Il s’est confié à vous, c’est ça ?
    — Il a fait comme Kevin, il n’a pas mentionné votre patronyme.
    
    Je persifle :
    
    — Mais vous savez déduire, c’est ça ?
    — Vous avez tout compris !
    — On se confie beaucoup à vous, je trouve…
    
    Il se met presque à rire :
    
    — Dans le temps, c’était le rôle du curé. Maintenant, c’est devenu souvent le rôle du médecin généraliste ou de l’infirmière libérale. En tout cas, je comprends très bien pourquoi vous faites tant de conquêtes ! Vous avez un corps très appétissant, et aussi un certain appétit, à ce qu’il paraît…
    — Merci de me trouver appétissante. Ou bien c’est uniquement l’avis de vos ouailles ?
    — C’est aussi mon avis personnel.
    
    Je sens qu’il introduit quelque chose en moi, ça doit être le produit contre l’irritation. Rebondissant sur sa dernière phrase, je hausse les sourcils :
    
    — Votre avis personnel ?
    — Je suis peut-être docteur, mais je suis aussi un homme normalement constitué… Rappelez-vous la soirée officielle ! Donc, au moins quatre hommes ont actuellement le plaisir de vous faire l’amour, beau score.
    — Quatre ?
    — Je compte votre mari dans le lot. Il ne fallait ...
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