1. Fétichisme - Le pet (3/3)


    Datte: 06/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds

    ... les secondes en millisecondes puis en microsecondes et ainsi de suite car les pets sont des choses si éphémères et si plaisantes qu'il vaut la peine de diviser le temps en plus petites unités afin de ne rien perdre de la vie de chacun d'eux. La vie des pets d'Akari est, au minimum, précieuse ! Je l'imagine avec une expression de soulagement et juste avant que le vent ne soit complétement expulsé, j'imagine le visage de la douce en train d'attendre que ses intestins se vident et lâchent ce gaz qui a tant attendu et qui est sorti sous des airs musicaux dont les notes et les moindres tons restent gravés dans ma tête. Le son le plus beau de la nature !
    
    J'imagine aussi le… non ! L'imagination doit faire place au réel.
    
    Le réel se compose de l'odeur et celle du pet d'Akari est à son tour composée d'œuf pourris. C'est presque la même que tout à l'heure d'ailleurs. Mais cette fois-ci, elle est mélangée à un je ne sais quoi.
    
    Pris dans l'étreinte chaude de ces senteurs, mon nez est totalement soumis et ce n'est qu'une question de temps avant que la soumission se transforme en plaisir. Cela se fait très rapidement. Je n'ai pas senti cette brise chaude qu'est la flatulence mais mes sens en savent assez pour me communiquer leur plaisir qui devient le mien et libérer en moi un troupeau de molécules chimiques qui va, à son tour, œuvre pour l'orgasme. La finalité des flatulences.
    
    Après avoir rapproché mon nez d'éproctophile de la merveilleuse source, je puis confirmer que ce pet ...
    ... sent les œufs pourris et l'échalotte. Je manque de vomir. Ce qui, avec du recul, ne m'aurait pas forcément déplu je crois. Mais mon manque de pratique me pousse à plus de prudence. Je ne renifle pas tout. L'expérience doit se faire en douceur. Je ne puis affirmer ce que mon savoir et mon expérience ne me permettent pas de comprendre après tout. Ce qui est étrange en cette situation c'est que l'excitation continue de grandir. Un tel partage de l'intimité m'excite. J'aime tellement les flatulences d'Akari que certaines choses en moi changent et me font aimer ce qui paraissait impossible à faire avant.
    
    L'air chargé de cette décomposition d'œufs, j'accepte volontiers de m'y soumette et de le subir. Il a changé. Il nous entoure. Il nous enveloppe. La matière autour est devenue de nature différente. Soudainement, il ne s'agit plus d'une atmosphère mais de moi en train de pénétrer à l'intérieur d'une odeur. Tout comme dans une eau qui m'emporterait par sa puissance, je me laisse noyer dans le pet d'Akari et si je ne quitte pas l'endroit, j'étouffe, j'hume la pourriture, je laisse mon nez se faire piquer par une matière presque toxique … Seulement, je crois bien que j'aime tout ça et je veux me noyer. Mon plus grand plaisir est d'être caressé par ce qu'il y a de plus dégeulasse : le gaz intestinal.
    
    Akari, quant à elle, commence enfin à assumer sa puanteur et surtout à tenir mes regards quand je lui dis que j'adore ce qu'elle m'offre. Je m'en vais l'embrasser, en plein milieu de ...
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