1. Les aventures de SEB (8) et fin


    Datte: 06/11/2024, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Poiluhds, Source: Hds

    ... que chaque arbre, chaque rocher et chaque grain de sable me parle et me dit : quelle belle journée et comme c’était beau de vous voir tous les deux faire connaissance, et, même si vous ne le savez pas encore, vous aimer…
    
    Nous grimpons le chemin un peu raide. J’entends des couples ou des groupes trouver le plaisir derrière les pins. J’ai peur un moment que Nathan veuille m’entrainer dans un plan à plusieurs mais il s’éloigne semblant chercher un endroit plus isolé. Il s’enfonce par un sentier presque invisible, je le suis, fou de désir et intrigué. Nous émergeons dans un petit espace à l’abri des regards. Il s’arrête, me fait face, la queue tendue vers moi. Je m’approche et nos lèvres se trouvent, comme ce matin, avec plus d’intensité encore maintenant que nous nous connaissons.
    
    Je m’agenouille devant lui. J’entrouvre les lèvres et j’invite son sexe à me pénétrer. Je retrouve le plaisir insensé de son pénis qui me remplit la bouche, décuplé. Ce n’est plus seulement une queue sublime que j’avale mais Nathan, que j’aime, sa queue, lui, tout entier, ses sentiments, son organe génital, son âme…Il s’enfonce en moi, toujours plus loin et je sens ma gorge s’ouvrir sans réticence pour le recevoir. Il se contracte par intermittence, j’ai l’impression qu’il va jouir puis non. Coups de rein pour me labourer la gueule puis des mouvements lents. Il amène son gland sur le bord de mes lèvres, sa queue se tend encore plus dure quand son méat frôle les poils de ma barbe, puis il ...
    ... replonge comme pour se protéger dans la douceur humide de ma bouche. Je comprends ce que bouffer veut dire, c’est au-delà du mouvement des corps, c’est ma conscience qui le bouffe, je me l’approprie, je le veux pour moi seul.
    
    Je me masturbe avec ma main droite. A genoux devant lui, les jambes bien écartées, je sens mon cul ouvert et offert à la caresse de la brise de cette soirée inoubliable. J’aimerais l’avoir en moi, le sentir coulisser entre mes fesses poilues comme ce matin, en même temps que dans ma bouche, mais il ne peut pas de dédoubler et je jouis du plaisir de le recevoir dans cette position d’adoration.
    
    - Putain….c’est trop bon
    
    Je comprends que je suce bien, en tout cas lui apprécie. Je ne m’étais jamais trop posé la question et j’ai eu raison de faire confiance à mon instinct.
    
    La journée a été trop longue, trop inattendue, trop folle pour que je trouve d’autres forces. Je t’aime, je l’aime et je ne veux plus que le faire jouir. Il me caresse les cheveux, me bloque la tête dans un étau pour que chaque millimètre de ma bouche se colle à sa queue gorgée de sang et de jus.
    
    - Je vais jouir…
    
    Je prends sa queue dans ma main et l’enserre de toutes mes forces. Je sens les veines et les canaux qui vont bientôt voir son jus déferler, se gonfler. Je pose son gland sur mes lèvres, une ultime caresse de ma langue et de ma barbe de trois jours et il m’arrose le visage. De longs traits de sperme me lacèrent la gueule, s’épuisent dans mes cheveux, coulent dans mon cou, ...