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Le lustre
Datte: 06/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Tuss, Source: Hds
Cette histoire, je dois le reconnaître, à conditionné une bonne partie des premières années de ma sexualité. Je venais de passer mon bac et j’étais partis sur Besançon commencer mes études scientifiques. J’avais un petit studio dans un immeuble bourgeois de caractère et lors des premiers mois j’avais croisé une jeune femme assez mignonne que ma timidité m’avait bien évidemment empêché d’aborder. Un samedi soir, rentrant après avoir pris un verre avec quelques amis, je la croise devant les boîtes aux lettres. Elle me souris gracieusement et avec beaucoup de douceur me demande si je pourrais l’aider à suspendre un lustre assez lourd dont elle vient de l’acquisition. Je bégaye péniblement un oui, elle me remercie abondamment et nous convenons d’un rendez-vous le lendemain. Une certaine excitation m’accompagna lorsque je monté les escaliers et mon imagination partis un peu dans tout les sens. Une fois arrivé chez moije fût bien incapable de faire quoi que ce soit. Le lendemain j’enfilai un survêtement, mis mon plus beau TShirt et montai les 2 étages qui nous séparais, sonnai et attendis. Elle m’ouvrit, les yeux brillants de reconnaissance et m’amena à son salon fort joliment aménagé. Je me sentais gauche et benêt ce qui contrastait avec ses manières simples et enjouées. Le lustre était effectivement trèès lourd et la tâche se compliquait car les fils à relier étaient très courts. Le plafond étant haut je me retrouverai sur son tabouretque je me mis rapidement à ...
... maudire pour son instabilité. Elle m’encourageât, s’excusât beaucoup puis n’y parvenant pas me proposa une pause. Elle alla chercher une bouteille de champagne non terminée lors d’une récente fête chez elle, on s’assit sur les canapés et elle me raconta sa vie qui était bien plus passionnante que la mienne. Son aisance qui au début me filait des complexes fini par me détendre et je commençai à rire avec elle sur le sort peu enviable qu’elle réservait au lustre s’il persistait à me résister. Je retournai à ma tâche, tandis qu’elle restait sur le canapé en finissant son champagne. - En fait tu es costaud , tu vas forcément y arriver me dit elle. Et d’ajouter en inclinant légèrement la tête : Et même plutôt bien foutu. Je dois dire que je n’étais pas vraiment habitué à des compliments aussi directs sur mon physique, et que je dû rougir passablement. Ma confusion augmenta et je manquai de trébucher. Elle se précipita et me maintint les jambes pour m’éviter la chute. Ses mains autours de mes cuisses et son beau visage, si proche de mon bas ventre et tendu vers moi provoquèrent un violent début direction, que la peur d’être découvert accentua irrémédiablement. J’avais toujours les mains en l’air, le nez aussi d’ailleurs, je tripotait maintenant ces fichus fils n’importe comment et le silence qui venait brusquement d’elle me donnait l envie de disparaître comme dans un dessin animé. C’est alors que je sentis une légère pression sur la bosse qui devait déformer mon ...