Femmes seules... mais pas esseulées (3/5)
Datte: 06/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... baise main très civil qui remonta jusqu'au creux du bras. Ce toucher délicat embrasa le corps délaissé de Mylène et elle fut à deux doigts de le retenir par le pantalon. Ce soir là, elle se masturba frénétiquement en pensant à Tao. Il avait déclenché chez elle quelque chose qu'elle savait irrésistible mais qu'elle se refusait à considérer comme un adultère potentiel. Juste un besoin corporel, naturel, hygiénique, de s'unir à un corps d'homme.
Il va sans dire qu'elle ne tarda pas à recommander des sushis. Mais cette fois, elle ne mit pas de slip sous son déshabillé. Il ne pourrait pas manquer son triangle des Bermudes. Ni se dérober à son invite implicite. Il arriva plus tard que prévu, ce qui la fit bouillir. C'était en fait pour liquider d'autres livraisons pour de son point de vue prendre le temps de sauter cette cliente chaude comme un brasero.
Quand il arriva, Mylène prit la boite des mains du livreur, la porta à la cuisine en se cambrant sous son déshabillé, lui offrant ainsi le spectacle de la raie de ses fesses nues à peine voilées, revint le regard brillant et la bouche humide, le prit par la main et le tira vers sa chambre. Sans un mot. Mais tout son corps parlait pour elle. Il l'embrassa, elle fit glisser les bretelles de son déshabillé, l'entraina vers le lit préalablement défait et le laissa parcourir ses seins, son ventre, son sexe dans un préliminaire de touchers qui la mit en ébullition. Elle tenta plusieurs fois de lui enlever son pantalon mais il se ...
... déroba avec une certaine perversité. Il lui exposa juste son torse glabre qu'elle caressa avant de revenir à la braguette. En vain. Il voulait qu'elle l'implore. Ce qu'elle fit :
- S'il te plait. Montre-la moi.
Il défit lentement sa ceinture et se glissa hors de son pantalon. La pine émergeait du slip. Tendue, fine, impatiente. Elle la dégagea avec fébrilité et l'engloutit avec voracité, à genoux sur le lit. Le gland toucha l'intérieur de ses joues, leur faisant une sorte de bosse avant d'être pris en charge par la langue et les lèvres. Elle la dégustait comme un mets fin, les yeux clos ou dirigés vers les siens pour guetter ses réactions. Mais lui voulait voir son cul, la partie de son corps qui l'intéressait le plus. Comme elle avait hâte d'être pénétrée, elle ne fit aucune difficulté pour se mettre à quatre pattes, en attente. Il avait tiré de son pantalon un préservatif, signe qu'il savait où il allait. Avant de l'enfiler, il considéra les fesses joufflues de la quinquagénaire, à raie longue, bien éloignée des petites croupes asiatiques qui faisaient son ordinaire. Il les mordilla, les lécha jusqu'à l'anus, la mit au supplice :
- Viens, je t'en supplie, viens !
Quand il la pénétra en levrette, elle poussa un cri rauque qui l'étonna dans cette bouche distinguée. La bourgeoise devenait femelle et il l'honora avec vigueur. La tige longue et fine du livreur atteignit Mylène dans des profondeurs quasi inédites et de la chair de poule parcourut son corps incendié. Elle ...