Un Soir de Février
Datte: 04/11/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byTheHuntFor, Source: Literotica
... ma femme. Nous nous étions rapidement faits à notre nouvelle ville.
Bref.
Cela ne m'inquiétait pas trop, car j'avais déjà eu ce genre de fantasme par le passé, comme tout homme je suppose. Des fantasmes sur des connaissances, des amies, des collègues de bureau, ... sans que cela ne se soit soldé par un quelconque passage à l'acte. Tous ces fantasmes étaient restés au stade de pensée à chaque fois, et avaient fini par me passer rapidement. De toute façon, je n'avais de mon côté jamais cherché à essayer d'en assouvir n'en serait-ce qu'un.
Et je me disais donc que cette fois-ci, ce serait pareil.
L'histoire se poursuit quelques mois plus tard, un soir de février.
Je ne fantasme plus du tout sur Eléna, ni ne pense à elle, comme je l'avais prévu.
Je me trouve alors dans le train, qui me ramène du travail. Je suis parti un peu plus tôt que prévu, car il s'est mis à fortement neiger dans l'après-midi.
A la gare de mon ancienne ville, celle où vit toujours Eléna et sa famille, le train s'arrête, mais ne repart pas. Annonce du conducteur, plus possible d'avancer, tout le monde doit descendre.
Je dois donc m'arrêter là.
Je me dépêche de sortir de la gare, je cours jusqu'à la station de bus la plus proche, en espérant que peut-être par chance certains circulent encore, et pourraient me rapprocher de mon domicile.
Mais c'est sans appel. Les routes sont déjà trop enneigées, plus aucun bus ne circule.
Je commence à réaliser que je vais certainement devoir ...
... finir le trajet à pied, quelques quinze kilomètres à affronter la neige, dans le froid, cela ne m'enchante guère.
Mais bon, pas le choix.
J'appelle alors ma femme pour lui dire que je rentrerais sûrement tard ce soir, en lui expliquant où je me trouve actuellement, et quelle est la situation. Elle s'inquiète, et me dit de bien faire attention.
Je commence alors mon périple, armé de mes Richelieu aux pieds.
Et alors que cela fait dix minutes que j'avance péniblement, ma femme me rappelle.
Entre-temps, elle a appelé Eléna, et cette dernière m'accueille chez elle pour passer la nuit.
Eléna, je n'y avais même pas pensé. De toute façon, je n'ai pas son numéro.
Au début, j'ai presque envie de décliner la proposition, mais l'idée de continuer à marcher pendant au moins certainement trois heures sous la neige me fait finalement changer d'avis rapidement.
Je fais alors demi-tour, et effectue le trajet que je faisais avant quotidiennement, pour arriver une vingtaine de minutes plus tard chez Eléna.
Je sonne, en m'attendant à trouver la petite famille au complet.
Capucine, la fille aînée d'Eléna, m'ouvre la porte, suivie par ses deux sœurs. Elles sont contentes de me voir. C'est vrai que la situation est plutôt inhabituelle, et que j'ai toujours eu un bon contact avec elles.
Je rentre après avoir secouer mes chaussures recouvertes de neige, enlève mon manteau, et Eléna m'accueille à son tour, en me faisant la bise.
Je jette un œil au salon devant moi, ...