1. Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 3


    Datte: 20/07/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... Il avait fixé les limites pour protéger et sauvegarder sa femme. Il la sait tellement réfractaire aux choses du sexe, qu’il a beaucoup de peine à l’imaginer se livrer à des débauches sexuelles. C’est vrai cependant que cet homme a son âge à lui… Mais finalement il se dit qu’elle est assez responsable pour se défendre ou s’abandonner. Il se surprend de sentir une forte érection l’envahir.
    
    Demain, il ferait la chasse aux informations. Il n’ose pas l’interroger, convaincu qu’en insistant, elle finirait par avouer. Or il se rend compte que l’incertitude et le mensonge sont deux ingrédients de l’excitation dont il sent les effets dans son pantalon !
    
    Comme il le lui a demandé elle s’est habillée pour sortir. Cela le rend joyeux de la savoir bien disposée. Il est impatient d’apprendre comme cette femme si distinguée et enfermée dans des principes religieux, allait réagir devant cet obsédé sexuel.
    
    Cette nuit là, ils font l’amour et notre homme sent nettement que Chantal participe. Tous deux sont excités, chacun de son côté. Lui pense qu’elle est déjà dans la débauche de situations imaginées pas le beau-père, situations qu’il espère les plus perverses, au delà de sa propre imagination. Elle, elle ...
    ... se laisse aller à des pulsions inavouables. Arrachée à son éducation, prisonnière de Satan, elle abandonne ici toute pudeur et retenue. Nue elle se voit au milieu d’inconnus qui se masturbent au dessus de son corps, étendu à même le sol. Elle est entourée des personnes qui s’impliquent comme elle, dans des œuvres de charité. Elle distingue des religieux, des amis, des relations qui, le sexe à la main, se masturbent les yeux fixés sur son corps qu’elle s’applique à faire onduler dans une danse lascive et diabolique. Des jets de sperme jaillissent et la recouvrent entièrement. Les hommes l’insultent, la salisse, des femmes la fustigent. Morte de honte, souillée, les spectres de son enfance ressurgissent : les vieux messieurs qui la matent, le frère de son père qui la touche, les images de sexe dans le musée… Là, en cet instant, elle se lâche, comme absoute par la présence de son mari qui lui fait l’amour, cachée par l’obscurité. Mais l’horrible péché de chair est consumé et les remords arrivent, forts, brutaux, sans aucune pitié. Elle récupère, fille perdue, femme maudite.
    
    Ils s’endorment heureux. Tous deux ont trouvé une jouissance dans cette étreinte. Chacun dans son propre fantasme.
    
    (à suivre) 
«123»