1. Willy 02 C'est moi qui en profite


    Datte: 02/11/2024, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... temps qu'il fallait. La pression devenait énorme, mon cul résistait, j'ai respiré à fond et c'est là que j'ai lâche. J'ai senti mon cul se dilater.
    
    Là il ne poussait plus, il laissait faire, mon anus se dilatait et je sentais mon petit muscle circulaire s'ouvrir autour de son gland. Je sentais son gland me pénétrer. Il poussait de nouveau.
    
    La sensation était folle je le sentais s'enfoncer en moi. C'était génial, c'était bon, vraiment bon. C'était terrifiant mais c'était bon, vraiment …
    
    Mon cul était à son maximum de dilatation, et je sentais sa queue glisser en moi et m'élargir partout ou elle passait. Je sentais mes entrailles se distendre, comme l'autre jour, c'était à la limite. Je manquais d'air, je râlais de plaisir, même si ce n'était pas vraiment du plaisir, non ce mot ne convient pas, c'était bien mieux.
    
    J'ai du loupé quelque chose, je me sentais rempli jusqu'au amygdales, quand j'ai senti son ventre s'écraser contre mes fesses. J'ai cru défaillir. J'ai eu un peu peur pour moi et je me suis senti submergé par un plaisir incroyable.
    
    Il est ressorti, puis il est revenu, puis il a recommencé et a fini par le limer proprement comme il sait faire, avec force et avec la violence de sa taille. Je parle là de la taille de sa queue mais vous aviez compris. Il accélérait le mouvement, je gueulais, je ne demandais pas grâce mais je gueulais. J'en voulais encore, j'en voulais plus.
    
    C'est à ce moment que je remarquais que je ne bandais pas, je ne bandais plus. ...
    ... Je ne sais pas à quel moment j'avais arrêté de bander, je vous garantis qu'au début, je bandais ferme. Mais à ce moment, plus rien.
    
    Je ne sais pas s'il s'en rendait compte, je ne sais pas si ça l'inquiétait. Je pense qu'en fait, il s'en moquait. Il était occupé et son plaisir devait primer maintenant. Vous savez les mecs, ils sont souvent comme ça, arrivé à ce niveau il ne pensent plus qu'à leur propre plaisir.
    
    Il me tenait très fermement par les hanches, me tirait vers lui au moment ou il enfonçait sa matraque grosse taille jusqu'à la garde. J'étais submergé par le plaisir, c'était un plaisir violent, mais c'était du plaisir. Il s'énervait, il râlait et il me donnait un coup violent qui me faisait peur, il jutais, il éjaculais en appuyant son ventre contre mes fesses.
    
    Là je convulsais, mon corps se révoltait et le repoussait, c'était sans aucun effet, il ne ressortait qu'au moment ou il le décidait. Il se retirait, le plaisir, mon plaisir était à son point culminant. Je jouissais, je jouissais à sec mais je jouissais.
    
    C'est au moment ou il ressortait de mon cul que j'ai juté, un flot de sperme dégoulinait de mon sexe et intérieurement je tremblais, je vibrais, je jouissais, je continuais à jouir ça en fait je jouissais depuis un moment et ça continuait. C'était de la folie !
    
    Je me suis laissé retombé sur le ventre. Il s'est lui aussi laissé tombé sur le ventre, sur son ventre, sur mon dos.
    
    Il était câlin, il m'avait comblé, je retrouvais mon calme. On a bien ...