Les malheurs de Clotilde Ch. 06
Datte: 01/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... plus que l'envie de lutter. Alors je les laissent faire. Me contentant des seules choses que je fais encore, pleurer et hurler. Désolée si je me répète, mais je suis tellement fatiguée, tellement usée, que je ne sais plus ce que je dis. Par contre, à midi, ma faim est telle, que je les supplies encore de me nourrir, en vain. Il y a aussi la soif, j'ai tellement soif. L'urine, si elle m'hydrate suffisamment, est salée, me donnant une impression de soif encore plus puissante.
L'après-midi, c'est différent, il me viole simplement. J'ai toujours mes règles, mais je n'y pense pas, pas plus que je pense que leurs éjaculations vaginales multiples m'ont sûrement mise enceinte. C'est obligatoire, trop de semences masculine à jaillit dans mon utérus pour qu'il en soit autrement. Mais un problème à la fois. Pour l'instant je suis occupée par la faim, la soif et mes viols multiples, continus et sans fin.
Quand ils mangent, je décide de passer à l'action. La faim me taraude vraiment, l'odeur de leurs repas est une torture. Rien que de la sentir, j'en salive, j'en bave, j'en pleure. Tout mon esprit n'est plus concentré que sur une seule chose, manger. Mes viols, la douleur, l'humiliation, tout est oublié, la faim prend le dessus sur tout. En geignant quand même de douleur, je me déplace à quatre pattes vers eux. Je me dirige vers Greg. C'est lui le chef, c'est lui qui décide.
Je m'approche de lui, tout en gardant une bonne distance. J'ai une idée pour attirer leurs attentions, ...
... son attention surtout. Il me regarde.
- Tiens on dirais que notre petite chienne veut nous parler. C'est ça?
- Ouaf!
- Bien, tu vois quand tu abois d'abord je t'écoutes.
C'était donc cela, les fois où je l'ais suppliée de me nourrir, j'ai parlée directement, j'aurais juste dut aboyer avant. Je le regarde, je ne sais pas si je dois parler normalement ou en aboyant. J'opte pour la seconde solution.
- Ouaf! Ouaf!
Il rigole.
- Parles normalement, c'est mieux. Comment tu veux que je te comprennes autrement? Tu es une belle salope, mais niveau intelligence, c'est zéro!
Pourquoi il a tant besoin de m'humilier, de me rabaisser? Ce n'est pas suffisamment dur d'être un jouet sexuel?
J'ai trop faim pour m'attarder sur ma souffrance morale, alors je me lance, peu importe les conséquences, je lui pose ma question :
- J'ai faim, j'ai soif...
- Tu veux que j'y fasse quoi? On te nourris, de sperme et de pisse! Tu veux quoi de plus?
- Je...
Je coupe ma phrase, je réfléchis à bien tourner ma demande. J'évite donc « je veux ».
- Je sais... je vous en remercie, mais j'aimerais aussi un peu d'eau et de nourriture plus consistante...
Si j'arrive à me retenir de pleurer, ma voix est chevrotante, hésitante.
- Pourquoi je ferais ça?
Je me vends, je me donne, je m'offre... je me prostitue à eux...
- Tu pourras tout me faire, tout les trois vous pourrez...
- Mais on peux déjà tout te faire. Tu ne l'as pas remarquée? Tout le plaisir que l'on te ...