1. Nouvelle arrivée en ville (1)


    Datte: 20/07/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: 6734, Source: Xstory

    ... tremblante, mais enjouée ; comme si elle avait trouvé un nouveau jouet.
    
    Elle me tira derrière le bar, lançant un petit sourire au barman. Elle poussa un portillon, me guida dans un couloir sombre, bifurqua et après une succession de porte, on fut à l’extérieur.
    
    La ruelle était sombre, déserte, silencieuse. Elle me plaqua contre un mur. Il était glacial et je me cambrais pour me soustraire au contact avec ce dernier. Cela ne fit que me presser plus contre elle. Je l’entendis gémir, ce qui me rendit folle.
    
    J’attrapais sa nuque, l’embrassant, laissant nos langues s’entremêler. Sans que j’aie à forcer, elle se laissa glisser contre moi. Sa bouche trouva mon ventre, continua de descendre jusqu’à mon ceinturon, passa sur le tissu jeans recouvrant ma fente que je devinais trempé.
    
    — Je peux ? Demanda me demanda-t-elle en souriant. J’attrapais ses cheveux et plaquais son visage contre mon pubis comme toute forme de réponse. Je la voulais. Je désirai sa langue sur mon sexe, jouant avec mes lèvres et mon clito. Je voulais ses doigts dans mon con et dans mon cul. Je voulais voir son visage barbouillé de ma mouille.
    
    Elle ouvrit ma ceinture, déboutonna mon jeans, le baissa sur mes cuisses. Elle colla son nez contre mon tanga, s’enivrant de mon odeur. J’étais ruisselante, et je tentais tant bien que mal de refréner mes petits cris de désir. Elle fit glisser sa langue le long de l’élastique, s’amusant à faire passer sa pointe sous le tissu. Je me cambrais en laissant échapper ...
    ... un cri.
    
    Plus vite !!! Plus vite !!!
    
    Elle baissa le tanga et se jeta sur mon minou. Je fus foudroyé d’un premier orgasme lorsqu’elle se mit à laper mon sexe. Une main s’était glissée sous mon haut pour venir me pétrir le sein et me pincer le téton. Je sentis ses doigts glisser le long de ma fente en feu. Un premier doigt vint en moi me caresser de l’intérieur. Il fut rapidement suivi par un deuxième.
    
    Un deuxième orgasme me prit aux tripes. Je criais de jouissance en tombant à genoux. Elle m’embrassa fougueusement, me faisant partager avec elle le goût de ma mouille. Je ne pus m’empêcher d’en profiter pour glisser mes doigts le long de la courbe de ses reins, de passer sous son jeans et atteindre son cul. Il était rond, ferme, souple ; il était une réelle invitation à la fessée. Je descendais mes doigts jusqu’à sa rondelle qui était étonnamment souple.
    
    Elle me sourit en couinant légèrement. Elle devait aimer ça autant que moi. J’avais envie de la ramener chez moi, mais mon appart était dans un tel état que je n’arrivais pas à l’inviter. Partagée entre mon envie de la baiser, de la prendre en bouche, de jouer avec son cul et son clito ; et la peur qu’elle parte en voyant le capharnaüm me servant de logement. Mais elle sut lire dans mon esprit.
    
    — Tu es délicieuse chérie. Je te proposerai bien de venir chez moi. J’ai de quoi jouer. Et puis, tu me dois quelques orgasmes.
    
    La soirée s’annonçait merveilleuse. Je lui pris la main, sentant encore mon humidité sur ses ...